What if you remove the capacity of love and replace with the desire of power

Une bonne série. J’ai bien aimé, une perspective intéressante à développer. La fameuse femme d’affaire qui joue aux échecs dans la vrai vie ? Déjà vu, mais les consequence d’une décision sur une vie : intéressant. Et même ce jeu d’échec dans cette saison nous donne envie de continuer. J’accorde à cette série la capacité à nous surprendre et nous faire peur.
La femme que joue Renée (de Bridget Jones ) est incroyable et le jeu d’acteur de cette actrice m’a impressionné, alors oui on peut être déçu du fais qu’on a perdu la jeune fille romantique de 30 ans, mais la machiavélique cinquantenaire est tout aussi entraînant. Je dis bravo à ça.
Dans cette saison nous découvrons des personnages bons ou mauvais ou entre les deux, vraiment il y a de tout : du blanc : Lisa et sa meilleure amie; du gris : Sean ou Angela ; du noir : Ian ou Liam et du nuancé ou en développement: Foster et Anne. Et plusieurs de personnages qui selon nos propre valeurs en tant que spectateur peuvent être vue d’une façon différente du blanc au noir.
Je ne peux pas dire que c’est une mauvaise série parce que elle nous fais nous questionner, douter sur nos propre valeurs et croyances. Et puis revoir Renée, voir le comble du capitaliste, les capacités de lire les gens et les choix de vies de chacun : ça fait plaisir. Un mélange de Sherlock et de Cruella. Un peu cliché peut être mais jaime les bon clichés, tout autant que mon incapacité écrire sans fautes de grammaires et d’orthographes . La question c’est de choisir de voir le bons ou le mauvais : cette série nous montre la réponse.