Les mangas c'est pour les enfants ? Qui ose encore penser ça ?
Cet animé se divise en 6 parties.
La première est si éprouvante à regarder que j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois.
Je commençais le premier puis deuxième épisode. Puis oubliait de regarder la suite. Tout simplement...
Voici mon appréciation des différents scénarios présentés ici.
— Ningen shikkaku (La Déchéance d'un homme) (9) Un chef d’œuvre. Une histoire d'amours, de guerre et d'humanité. Tout le champ lexical du désespoir y est traité.
— Sakura no mori no mankai no shita (8) Presque aussi bien, ici, l'amour aveugle flirte avec l'horreur, la barbarie, et la psychose.
— Kokoro (8) Une autre histoire où le drame réside dans le silence des sentiments inavoués. Cette incompréhension engendrera une triste fin pour nos protagonistes.
— Hashire, Melos! (7) Cette histoire traite du remords, elle est très émouvante mais ici, pas de morts, de tortures et autres abjections dont seul l'humain connait le secret. Je pense que son placement par rapport à la série nuit à son appréciation. L'histoire de ces "amis" exclura un certain public.
— Kumo no ito (8) La cinquième histoire traite de la justice et du repentir.
— Jigoku hen (6) La dernière histoire est celle que j'aime le moins, à cause d'un problème d'illustration, qui porte la morale à confusion.
j'ai dû revoir la discussion entre le peintre et le roi, pour valider les intentions du peintre.
Au delà de ça, sa demande était stupide et sa punition, à la hauteur de sa bêtise ( si on considère que c'est lui qui a été puni, je vais d'ailleurs enlever un point à la note que je viens de lui mettre ).