Les meilleurs albums de 2021 selon chtimixeur

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Depuis des années, j'attends qu'un groupe émerge de nulle part et mette tout le monde d'accord, et il y a de grandes chances que Turnstile soit ce groupe. Il n'y a rien à jeter sur cet album, et les morceaux étant particulièrement courts, j'y reviens encore et encore.
Une vraie claque, qui outre les fans de post-hardcore, devrait ravir les fans de Rage Against the Machine, Third Eye Blind et Anthrax. Même les fans des Beastie Boys et de The Police devraient y trouver leur compte, c'est dire si le disque est varié !
Bref, il s'agit sans l'ombre d'un doute de mon album de l'année, et je sais déjà que je vais l'écouter très régulièrement pendant les années à venir.
Mes morceaux favoris : Blackout, Holiday, Mystery, Don't Play, Dance-Off, Wild Wrld, Underwater Boi, Endless, Fly Again

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Un album incroyablement ambitieux sur lequel Mastodon fait fi des formats de chanson habituels. Les musiciens sont tous au top, et leurs envolées épiques sont souvent captivantes. Fait rare pour être signalé, la production est excellente, et cela rend leur musique encore plus agréable à écouter que d'habitude.
Pour être parfaitement honnête, il m'a fallu plusieurs écoutes pour enfin prendre la mesure de l'album, mais cela valait vraiment le coup. Mon seul reproche concerne sa durée un poil excessive, et je pense qu'il aurait été judicieux d'écarter Had it All et Eyes of Serpents pour faire tenir l'album sur un CD.
Mes morceaux favoris : Pain with an Anchor, Pushing the Tides, Skeleton of Splendor, Gobblers of Dregs, More Than I Could Chew, Sickle and Peace, Peace and Tranquility, The Beas, Savage Lands, Gigantium, The Crux, Dagger, Teardrinker

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7.5/10
Je retrouve dans cet album tout ce que j'aimais chez Blink-182. Tom n'a rien perdu de son talent de composition, et ses refrains restent incroyablement accrocheurs.
Alors qu'AvA sonnait autrefois comme un groupe avec une identité très marquée, ce n'est plus vraiment le cas ici, et l'influence de Blink "version adulte" se fait ici ressentir sur quasiment chaque titre. Le reste du temps, il m'est arrivé de penser à The Cure (Automatic) et aux Foo Fighters (Kiss & Tell).
Bref, s'il voulait fallait une preuve supplémentaire que Tom était l'âme de Blink-182, jetez une oreille à cet album pour vous en convaincre définitivement.
Mes morceaux favoris : Losing My Mind, No More Guns, Euphoria, Kiss & Tell, Timebomb, Restless Souls

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Un bon cru. Pour la première fois depuis une quarantaine d'années, Eddy nous propose un album qui sent vraiment la country, et Charlie McCoy est très présent sur l'ensemble de l'album. Quasiment tous les morceaux sont bons, et ceux où Eddy nous raconte une histoire sont comme d'habitude les meilleurs (mention spéciale à Icône oubliée). La voix est aussi épatante pour son âge. Comme souvent, Eddy n'est pas inspiré sur l'intégralité de l'album, et il multiplie les platitudes et rimes faciles sur quelques titres, et sur 2-3 d'entre eux, on sent que les textes ont été insérés au chausse-pied.
Mais bon, je ne vais pas me plaindre : sortir un album de cet niveau après 60 ans de carrière, c'est assez inouï, et Eddy est l'un des seuls anciens chanteurs encore en activité avec Alain Souchon à ne jamais décevoir son public.
S'il s'agit de son dernier disque, c'est une très belle sortie...
Mes morceaux favoris : Icône oubliée, Né dans le ghetto, Ne parle pas de moi, Droite dans ses bottes, Un petit peu d'amour, C'est la vie, fais la belle, Que viva Las Vegas

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Ces chansons lui vont comme un gant, si bien que j'ai l'agréable impression d'entendre un véritable album de Norah Jones plutôt qu'un banal album de Noël.
Mes morceaux favoris : Christmas Time Is Here, White Christmas, Blue Christmas, Christmastime, Christmas Calling (Jolly Jones), It's Only Christmas Once A Year, What Are You Doing New Year's Eve?

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Un premier album dans lequel Deadwaves rend un hommage appuyé à KoRn et aux Deftones. L'influence du premier groupe se fait surtout ressentir à la guitare sur les premiers titres de l'album (Runaway, What It Means), mais ensuite, on a parfois l'agréable impression d'entendre des inédits des Deftones :
- Virus = Around the Fur
- Everyday = White Pony
- Wasted = leurs morceaux les plus bourrins à la sauce Diamond Eyes/Koi No Yokan

Certains samples et riffs basiques que l'on entend sur Inside Me et Fake font quant à eux penser au Linkin Park des débuts.
Bref, si vous aimez le néo-métal, je ne vois pas comment vous pouvez passer à côté de ce disque.
Mes morceaux favoris : Virus, Runaway, What It Means, Everyday (Go Away), Wasted, Inside Me, Fake

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Encore un album très solide, même s'il m'a fallu quelques écoutes pour m'en rendre compte. Hormis la curieuse To the Sea, tout s'écoute avec un réel plaisir, et je me suis surpris à laisser tourner l'album en boucle pendant des heures.
Mes morceaux favoris : Funeral Singers, Again, The Dying Blood, Dust Storm, Box of Bones, Time in Berlin

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Première bonne nouvelle : l'album a une super production avec un son dynamique qui rappelle l'époque bénie des 70's. Pour un groupe qui a toujours sorti des albums ultra compressés, ça change !
Pour ce qui est de la musique, il s'agit d'un meilleur cru que celui de 2019. Quasiment tous les morceaux sont sympas à écouter, et la plage-titre possède une énergie qui réveillerait un mort.
Les influences diverses et variées m'ont plus sauté aux yeux que d'habitude : Black Sabbath (Humble), AC/DC période Powerage (Upload), Marilyn Manson (Walking), Oasis (Outside) et même Noir Désir (Metal & Fire) !
Bref, Wolfmother reste une valeur sûre pour les amateur de rock australien à l'ancienne.
Mes morceaux favoris : Rock Out, Upload, Only Way, Mantle, Fellin Love, Humble

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Un album dans la parfaite continuité de ce que propose le groupe depuis A Matter of Life an Death. Aucun morceau ne ressort particulièrement du lot, tout est d'un niveau à peu près égal, et la bande à Steve Harris a parfois tendance à se répéter. Bruce Dickinson commence aussi à montrer ses limites vocalement, mais qui pourrait lui faire le moindre reproche après ses ennuis de santé ?
J'ai lu aussi beaucoup de critiques concernant la durée excessive des morceaux, comme si la génération Z à faible capacité d'attention n'avait toujours pas compris que le groupe avait changé depuis 2006. Tant pis pour eux s'ils sont incapables d'apprécier Maiden à sa juste valeur, mais je pense pour ma part que ce 17ème album vaut largement le coup, et qu'il se révèlera aux plus auditeurs les persévérants.

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Un collection de beats inégale, mais avec quelques grosses tueries comme je les aime. Ginger Step, avec sa basse 80's qui me fait énormément penser au premier Sonic the Hedgehog, est un énorme coup de coeur. Yung est quant à elle aussi douce à l'oreille que du Dela.
Bref, Marco Polo reste encore et toujours mon producteur de hip-hop préféré, et ce n'est pas prêt de changer.
Mes morceaux favoris : Ginger Step, Yung Feathers, YF2, Look, Wild Elephants, Sunday

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Une deuxième collection d'instrumentaux agréable à écouter mais légèrement moins marquante que la première.
Mes morceaux favoris : Epic (Intro), My World, Hot & Cold, Orange Beams, Like a King

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David Silveria is back!
Après deux projets qui ont fait de lui la risée des sites d'info métal (Infinika et Core 10), l'ancien batteur de KoRn retrouve enfin un groupe correct.
Cet EP ne révolutionne en rien la scène néo-métal, et il serait peut-être sorti dans l'indifférence générale aux débuts des années 2000, mais perso, je prends du plaisir à l'écouter, et ça me fait plaisir d'entendre à nouveau Silveria à la batterie. S'il n'a plus le groove d'antan, le meilleur ennemi de Fieldy a toujours un certain sens de l'arrangement qui ne ferait pas de mal au KoRn actuel...

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Solide, à défaut d'être original.
J'aurais pu me passer des 3 interludes sans intérêt, et le titre d'ouverture ressemble plus à un morceau pour lequel on n'a pas daigné écrire des paroles qu'à un véritable instrumental. Malgré tout, Chevelle ne déçoit pas, et je vais beaucoup écouter ce disque, comme tous les précédents en leur temps.
Mes morceaux favoris : Remember When, Peach, Self Destructor, Ghost and Razor, Mars Simula So Long Mother Earth

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Les fans des Deftones devraient adorer.
Mes morceaux favoris : Show Me The Real You, Now I'm Lost, Gasoline, Young Love

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L'album est certes formaté pour la radio, mais il est diablement efficace et pas trop long.
L'influence de Head se fait globalement moins sentir (sauf sur les breakdowns), et la voix du deuxième chanteur se marie vraiment bien avec celle de Brian.
Mes morceaux favoris : Down, Affliction, White Flag, The Hunter, Death of Us

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Un disque qui m'a d'abord énervé. 10 ans d'attente pour une demi-heure de musique, vous êtes sérieux, là ?
Pour moi, Limp Bizkit, ce sont des riffs, mais aussi des intros, des interludes, et surtout des breakdowns de folie, et sur cet album, le groupe va droit à l'essentiel, avec des morceaux ultra-courts à la Turntstile.
En 2011, LB reprenait à l'identique la recette de Chocolate Starfish, et l'ensemble manquait de peps, d’énergie et de groove.
En 2021, le groupe part dans tous les sens, et on les sent revigorés sur un plan créatif. Les influences de Cypress Hill, Ministry, Eminem, Nirvana et Justin Timberlake se font clairement ressentir, et quand elle ne rend pas hommage aux autres artistes, la bande à Fred Durst parvient à faire la difficile synthèse de Chocolate Starfish et Results May Vary.
De part sa courte durée, ce disque s'avère très digestible, et je me suis surpris à y revenir encore et encore. Les quelques riffs usant de la whammy bar sont monstrueux, DJ Lethal redevient un membre clé du groupe, et Fred Durst n'a pas aussi bien chanté et hurlé depuis 2000. Mon seul regret concerne la section rythmique, plutôt en retrait par rapport aux autres membres.
Bref, alors que le groupe semblait moribond, Still Sucks constitue une très bonne surprise, qui laisse présager de bonnes choses pour l'avenir.
Mes morceaux favoris : Out of Style, Dad Vibes, Dirty Rotten Bizkit, You Bring Out the Worst in Me, Snacky Poo, Turn it Up Bitch

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Un clone de Slipknot qui me rappelle pourquoi j'ai aimé ce groupe au tout début des années 2000. Ici, pas de refrains écrits pour la radio, et le chanteur hurle de tous ses poumons comme le Corey de la grande époque. Bref, un EP gras, méchant et sans concession.
Jugez par vous-même : https://youtu.be/JDqwc6td04A?t=278
Mes morceaux favoris : Victimize, Gods, The Broken, The Pain

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Du néo-métal énergique avec un chanteur qui fait parfois penser à Chester Bennington, que ce soit en voix éraillée (Choke) ou mélodique (Sorrow, Anger). Avec seulement 31 minutes au compteur, l'album est diablement efficace et je me suis surpris à l'écouter en boucle pendant plusieurs heures.
Mais l'honnêteté m'oblige à vous dire que les paroles ne volent pas toujours très haut (Shut up Life, is Pain), et certains refrains mélodiques sont trop formatés à mon goût (Caught in a Web, In your Head).
Mes morceaux favoris : Choke, Shut Up, Anger, Sorrow, Waste, One Release, Life is Pain

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Un album avec un très bon tiers, un autre correct, et un dernier totalement dispensable. Myles n'a pas grand chose à dire sur le confinement, mais il est accompagné par un excellent batteur, et la production d'Elvis Baskette est moins gênante que d’habitude. J'ai un gros coup de cœur pour les chœurs de Wake Me When It's Over, et Worried Mind est une espèce de morceau des Mayfield Four à la sauce blues. J'aime le fun qui se dégage de Tell It Like It Is, et Love Rain Down me donne très envie de découvrir le fameux album de 2009 qui a été mis sur une étagère... A côté de ça, je trouve que The Ides of March est un Blackbird un peu moyen, sans réelle cohérence du début à la fin. Dommage, car il y avait de l'ambition dans ce titre. J'aurais aussi aimé que Myles nous propose davantage de solos de guitare à rallonge, comme il nous l'avait laissé entendre lors de ses interviews... Espérons que ce sera pour la prochaine fois, car le bonhomme a un toucher assez unique qui me parle bien plus que celui de Mark Tremonti.
Mes morceaux favoris : Wake Me When It's Over, Worried Mind, Tell It Like It Is, Love Rain Down, Wanderlust Begins, In Stride, The Ides of March

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6.5/10
Un album plus doux que ce à quoi Jerry Cantrell nous a habitués avec Alice in Chains. Certains arrangements lorgnent vers la country et le classic rock des 70's, et sur Siren Song, le guitariste me donne l'impression d'avoir voulu écrire son Unforgiven (on entend les mêmes castagnettes !).
L'album est plutôt sympatoche à écouter, et les harmonies vocales de Jerry font toujours mouche. Mais il n'y a aucun tube évident, et surtout, il manque de variété, si bien qu'au bout de quelques écoutes, j'en avais fait le tour. Et puis mince, quoi, finir un album d'à peine 9 titres avec un machin insipide que Goodbye, c'est juste pas possible...
Mes morceaux favoris : Black Hearts and Evil Done, Brighten, Atone, Nobody Breaks You

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Je n'étais pas loin de lui mettre 7/10, mais plusieurs trucs me gênent sur ce disque. Certes, le groupe joue vite et fort, et l'album est globalement agréable à écouter, mais on sent Dino Cazares en totale roue libre, et les morceaux possèdent moins de personnalité que sur Genexus. Le riff principal de Cognitive Dissonance est par exemple complètement pompé sur celui de Self Bias Resistor, et je trouve que Fear Factory tourne plus en rond que jamais sur ce disque.
Je ne suis pas non plus fan des samples parlés qu'on entend sur quelques titres, et le mixage me pose vraiment problème. En effet, on sent que les synthés ont été ajoutés à la dernière minute et qu'ils n'étaient pas prévus initialement lors des sessions de 2017. Comme pour justifier leur présence financée par une campagne GoFundMe, Dino les a donc mis en avant dans le mixage, au détriment des guitares. Résultat, on se retrouve avec un mixage bizarre où prédominent la batterie, le chant et les synthés. La basse est inexistante, et les guitares ne sont pas suffisamment audibles, alors que c'est ce qui m'avait fait aimer le groupe dans les années 90.
Pour ce qui est du chant, je trouve que Burton C. Bell use un peu trop de son chant guttural, et je le trouvais plus subtil par le passé. Enfin, je n'aime pas du tout le solo de Monolith ainsi que le break de guitare au milieu de Disruptor.
Mes morceaux favoris : Aggression Continuum, Fuel Injected Suicide Machine, Cognitive Dissonance, Recode, Manufactured Hope, Purity

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6.5/10
Un album plutôt bien fait, très bien produit, et qui est dans la continuité des deux précédents. Matt Heafy chante mieux que jamais, mais allez savoir pourquoi, je n'arrive pas à me passionner pour ces chansons, qui sont toutes correctes mais jamais transcendantes.
Sont-ils allés trop vite ? Se sont-ils vus trop beaux après les critiques dithyrambiques du disque sorti en 2020 ? A mon humble avis, quelques mois supplémentaires d'écriture n'auraient pas fait de mal pour proposer un album vraiment marquant.
Mes morceaux favoris : Like a Sword Over Damocles, In the Court of the Dragon, Feast of Fire, The Shadow of the Abattoir, No Way Back Just Through, A Crisis of Revelation

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Même si le néo-métal à la sauce djent à pris un petit coup de vieux depuis 2012, cet album est plus réussi et surtout mieux produit que le précédent sorti en 2016. Le groupe est survolté et, à l'exception d'un curieux interlude en français, le groupe britannique ne laisse jamais l'auditeur respirer. Certains pourront (à juste titre) trouver la musique un poil répétitive, mais perso, j'y trouve mon compte, et j'aime tout particulièrement le titre inspiré par The Prodigy (Turning the Tables).
Mes morceaux favoris : Turning The Tables, Armoured Core, Hyperdialect, How Dare You Exist, Reprogram, Dogs of War, Currency

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Les Datsuns semblent très inspirés par les 70's sur cet album qui fait la part belle aux claviers. Le batteur a un très bon swing, et certains riffs rappellent les Datsuns de 2002. A côté de ça, je trouve que le chanteur a un peu de mal sur les morceaux les plus calmes. Mais dans l'ensemble, je reviens régulièrement à ce disque depuis sa sortie, donc le bilan est positif.
Mes morceaux favoris : Brain to Brain, Bite My Tongue, Warped Signals, Raygun, Dehumanise, Moongazer

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C'est plutôt bien fait, et l'album est varié et rempli de titres accrocheurs. Mais tout comme sur le précédent, on ne comprend rien à ce qu'elle raconte, et ses paroles ressemblent à une succession de voyelles aiguës non articulées.
Juliette Armanet ne se contente plus de plagier Véronique Sanson, et elle s'attaque désormais à Barbara (Imaginer l'amour), Lenny Kravitz (Boum Boum Baby) et... Isabelle Guiard, alias la chanteuse de Signé Cat's Eyes (Tu Me Play).
Mes morceaux favoris : Le dernier jour du disco, Sauver ma vie, Qu'importe, L'épine, Boum Boum Baby

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Cette fois-ci, le groupe lorgne du côté de Machine Head et Metallica. C'est toujours assez efficace, et j'ai beaucoup plus écouté cette cuvée 2021 que les précédentes. Mon petit doigt me dit aussi que contrairement aux précédents albums, je continuerai à l'écouter après sa fenêtre de sortie !
Mes morceaux favoris : Bullet in Your Head, Blood for Blood, Fury, The Prophet of Doom, If You're Willing to Die

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Comme l'indique la pochette, Mark Tremonti n'en finit plus de tourner en rond.
A l'exception de l'excellent morceau-titre, rien ne sort réellement du lot, et beaucoup de titres font penser à d'autres sortis précédemment. Les chansons les plus soft sont quant à elles insignifiantes, ce qui est tout de même étonnant de la part du leader de Creed et Alter Bridge qui nous a toujours habitués à un certain standard de qualité.
La production est moins naze que d'habitude, cela dit, et Mark chante de mieux en mieux.
Mais avec son mélange de riffs thrash et de refrains pop, ce projet solo a toujours été bancal depuis le début, et l'entêtement de Mark à bosser avec Michael Baskette n'arrange vraiment pas les choses.
Bref, c'est plutôt bien fait et ça se laisse écouter, mais ça ressemble tellement aux précédents disques qu'on finit vite par s'ennuyer.
Mes morceaux favoris : Marching in Time, Would You Kill, Let That Be Us, A World Away, Thrown Further

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Une bonne petite collection de chansons, qui me semble de meilleure qualité que les deux précédentes.
Hormis Waiting on a War, je n'entends aucun morceau susceptible de devenir un classique.
Chasing Birds m'a beaucoup fait penser à du John Lennon, et à d'autres moments, c'est l'influence de David Bowie qui se fait ressentir.
Je ne suis pas fan des chœurs qu'on entend sur plusieurs morceaux, et sans trop y croire, j'aimerais qu'un jour, les Foo Fighters redeviennent un simple quatuor de rock alternatif.
Mes morceaux favoris : Waiting on a War, Love Dies Young, Chasing Birds, Holding Poison, No Son of Mine

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L'album m'a initialement fait une bonne impression, tant il est rare de nos jours d'entendre des artistes de soul ou de R'N'B faire de la vraie musique avec de vrais musiciens. Mais plus je l'ai écouté, plus je l'ai trouvé répétitif, et si tout est globalement bon, aucun titre ne sort du lot.
Bruno Mars a beau chanter merveilleusement bien, les influences de Marvin Gaye et James Brown se font trop ressentir sur l'ensemble de l'album. Les balades ont aussi un côté très guimauve qui me rappelle le pire de la musique des années 70/80.
Dans le genre rétro, Jamiroquai me semble donc rester un cran au-dessus.

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Un album d'active rock américain efficace mais assez lisse. Wolfie nous fait du Alter Bridge light avec le producteur d'Alter Bridge, et s'il chante bien, l'ensemble est musicalement bien trop sage pour un musicien dont le patronyme est Van Halen.
On pense fort à Alter Bridge période AB III (Think it Over), Rage Against the Machine (You're to Blame), mais aussi, et c'est là plus étonnant, à The Panic Channel (Stone).
Hormis 2-3 titres un peu fades, l'ensemble est plutôt agréable, mais depuis le temps qu'on nous disait que Wolfie était un génie absolu, je m'attendais à quelque chose de plus marquant.
Mes morceaux favoris : Don’t Back Down, Stone, Mammoth, Mr. Ed, You’ll Be the One, Resolve, Feel, You’re to Blame