Les films avec les meilleurs méchants selon Sherns Valade

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Dark Vador, parce que oui on est en France, alors oui, il s'appelle Dark Vador et je vous proute. Meilleur antagoniste de l'histoire du cinéma, qui se tapera ce qui est probablement la meilleure rédemption dans l'épisode suivant. En attendant, le voilà impitoyable, même face à la meilleure révélation qu'on ai vu de mémoire de cinéphile.

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L'agent Smith, qui a cette particularité : ce n'est pas lui qui vos débecte, c'est vous qui le débecté. Il vous déteste, vous et tout les autres du genre humain, et il vous le fera bien comprendre. Parce qu'à la toute fin, c'est lui qui gagne... En théorie.

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Le Joker, pour un Heath Ledger, qu'on ne présente plus. Ce genre de rôles anthologique, on en croise pas sur tout les chemins. Taillé sur mesure, dans une folie qui n'a jamais aussi bien portée son nom, feu son acteur de renom dépassera les limites du réalisable dans ce qui reste le bockbuster le mieux dosé qu'on ai fait jusque là. Grace à lui, entre autre.

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Thanos, tyran dont la folie n'a d'égale que son raisonnement presque fondé et moralisateur, brisant le 4ème mur pour atteindre notre société dans toute sa décadence. Josh Brolin fait des ravages et nous montre ce que c'est que d'assister, impuissant, à la chute d'un empire qu'on aura vu se construire pendant près de dix ans. Quand l'antagoniste gagne, et qu'on en redemande.

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L'impitoyable Xénomorphe, qui ne s'appelle pas encore comme ça. Pour l'heure, la créature de Giger porte le nom de son film, huit-clot glaçant et effroyable, ou les échelles de puissance entre humain et créature du troisième type ne veulent plus rien dire. Ici, seuls les chats semblent épargnés.

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Non, l'antagoniste de ce film n'est pas Sauron. Sauron est l'antagoniste de la trilogie. La pitoyable créature qui sert d'opposant dans le plus grand final que nous ai jamais apporté le cinéma, c'est Gollum, une des premières créatures de synthèse, et qui ouvrira la voie à la motion capture dont son acteur, Andy Serkis, est le roi. Incroyable dans ses convictions et ce jusqu'au bout, ce qui demeure du pauvre Sméagol passera à la postérité comme porte d'entrée au futur de la technologie pour le 9ème Art.

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Khan, monolithique et froid, impitoyable et incroyable, le surhomme par excellence, dans tout ce qu'il a de parfait et d'effrayant. Une voix caverneuse et un charisme à vous glacer d’effrois, sublimé par la prestation d'un Benedict Cumberbatch qui transforme tout ses personnages en créatures pour le moins fascinantes.

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Après avoir transcendé le statue "d'être", l'Agent Smith souhaite le contrôle et la domination absolue sur l'ensemble des mondes à sa disposition. Plus grand et puissant que jamais, se battant une ultime fois pour en finir avec celui qui a fait de lui la créature sans limite qu'il est devenu, Neo. Sous une pluie battante, il va réaliser sa plus grande erreur, et entreprendre une chute brutale qu'on aurait décidément voulu bien plus longue.

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Le T-1000, créature polymorphe redoutable qui aura effrayé tant de génération d'enfant découvrant ce film pour la première fois. Véritable prouesse technologique à une époque où 99% des effets visuels sont dors et déjà devenu kitsh, Robert Patrick fait très bien la machine froide comme l'acier dont elle est constituée, inarrêtable et indestructible, menace tangible et effrayante s'il en est.

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Simon Guber, frangin dont le destin ne saurait nous dire s'il est en quête de vengeance ou de simple distraction, va chamboulé le quotidien pour le moins morne du meilleur de tout les flics. A une époque où Bruce Willis ne défonçait pas encore des hélicoptères avec une motos, Jeremy Iron va jouer au chat et à la souris à travers un New York touristique au possible. Destination de rêve, et explosions de premiers choix !