Les films les plus traumatisants selon micktaylor78

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Les 20 dernières minutes, d'une complaisance folle et qui m'ont presque dégoûté du cinéma choc. Bon j'ai réussi à passer outre mais clairement, Thomas Clay n'est pas mon pote.

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Un film qui a des choses à dire mais que j'ai rejeté par réflexe sur le moment, car vraiment malsain et qui pose question sur la notion de point de vue au cinéma.

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D'un nihilisme un peu suspect, mais ça secoue bien comme il faut. Efficace dans son genre mais j'étais ado, donc sans doute moins blasé qu'aujourd'hui, et ça m'avait fortement impacté.

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La fin hardcore mais objectivement un peu WTF à force de surenchère malsaine. Je ne sais plus trop aujourd'hui s'il faut le prendre au sérieux ou comme une grosse potacherie d'ado.

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La banalité du mal. Une ambiance sordide qui colle à la peau, et certaines scènes insoutenables où l'on ne sait clairement plus où se mettre.

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Un peu comme au-dessus, mais encore plus perturbant car ça nous force à nous mettre dans l'esprit d'un malade mental. Expérience limite mais intense.

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Que dire qui n'ait déjà été écrit sur ce film culte ? Bah rien, la fameuse scène parle pour elle-même.

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Voir un homme lacéré non stop pendant quasi les 2h de long-métrage, au bout d'un moment, ça pèse, et il n'y a pas besoin d'être croyant pour en ressortir achevé.

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Une expérience essentielle mais dont on sort anéanti mentalement. Peut-être ma séance ciné la plus viscérale.

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Découvert il y a un an, en début de premier confinement, et clairement ce n'était peut-être pas la meilleure idée qui soit. Crise de larmes incontrôlable sur la fin. Un film sublime mais du terrorisme lacrymal.

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Un film qui rend fou, tout simplement. L'impression d'avoir la tête dans un étau pendant 2h, et d'en sortir aussi aliéné que la pauvre J-Law dans le film.

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Sans doute l'histoire la plus horrible qui soit, et malheureusement bien en-deçà de l'histoire vraie dont ça s'inspire. Si vous n'étiez pas encore totalement dégoûté de l'espèce humaine, le film se chargera de vous convaincre définitivement.

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La fin d'une logique si terrible qu'elle en est difficile à accepter. Quand le générique arrive, on est presque en déni de ce qu'il s'est déroulé à l'écran, mais il faut bien s'y faire. La vie n'est pas comme dans les films Hollywoodiens, et Na Hong-jin le vénère se charge de nous le rappeler.