Les jeux qui font le plus rire selon seblecaribou

Annotation :

L'univers et les dialogues sont absolument merveilleux. C'est juste n'importe quoi du début à la fin, tout en gardant une cohérence globale. Le jeu parvient même à utiliser les mécaniques d'un p&c classique pour faire de bonnes vannes avec.
C'est absolument over-the-top et ça regorge de moments hilarants, je le recommande très très chaudement.

Annotation :

Les mécaniques d'infiltration, bourrines et subtiles à la fois, sont constamment complémentées par l'univers, surtout sonore. Le jeu a des bruitages et doublages à mourir de rire, et le gameplay encourage les foirages constants avec ses partenaires de jeu.

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Le prémisse est tellement con que c'en est formidable: on joue une pieuvre qui, par un miracle qui se révèle au fur et à mesure du jeu, trouve le moyen de se marier et de fonder une famille. Là où ça devient extraordinaire, c'est quand on se rend compte que personne ne réalise qu'il s'agit d'une pieuvre. Tout le but du jeu est alors de faire des tâches du quotidien (passer la tondeuse, aller faire les courses, emmener sa petite famille à l'aquarium...) en conservant secrète sa véritable identité.

Le gameplay est donc entièrement basé sur la physique du jeu: on ne dirige pas Octodad avec un joystick comme n'importe quel perso, non. On dirige un tentacule qui lui sert de pied avec R2 (ou Rt) et l'autre avec L2 (ou Lt) et on bouge tentacule par tentacule avec le joystick. On peut également passer en mode saisir où on bouge ce qui fait office de bras que l'on peut aimanter sur des objets pour les bouger ou les emporter.

Évidemment tout cela est ultra laborieux et on passe son temps à renverser des trucs à faire n'importe quoi et globalement à se demander comment les gens ne remarquent pas que l'on est une pieuvre. Et c'est là toute la sève comique du titre: le décalage entre le niveau de bordel que l'on met et l'absence de réaction des PNJs.

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Ici c'est essentiellement la juxtaposition des graphismes très léchés et proches du travail de Grandville, associé à cet univers anthropomorphe assez loufoque et des dialogues parfois anachroniques, mais très souvent super drôles qui font le sel du jeu.

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Si l'ensemble du visuel, des références au genre horreur et des déroulements des épisodes donnent à chaque fois le sourire, c'est vraiment le premier épisode de cette compilation qui remporte le plus grand succès. C'est notamment du au fait qu'il est l'épisode le plus bac-à-sable, mettant à disposition énormément d'outil pour le finir. Autant d'outils, mini-systèmes même, qui se rentrent dedans pour créer des choses juste imprévu. Comme se prendre son propre râteau et laisser tomber alors du feu dans une marre d'essence, que tout prenne feu et qu'une explosion renvoie un objet contre la face d'un de ses protagonistes. Plus on expérimente, et plus on a de combinaisons étranges d'événements.

Annotation :

C'est du football, sauf qu'on peut désactiver les arbitres et faire n'importe quoi avec les tacles. Du coup, ça se transforme en boucherie très vite, et on enchaîne les coups de latte à la gorge, les tirs surbourrins dans la face du gardien et autres attentats en milieu de surface. Excellent à petite dose!

Annotation :

Tout l'univers est hilarant. Les armes n'ont aucun sens et les bruitages qui accompagnent chaque phase de jeu en remettent une couche sur l'absurdité de l'univers présenté.

Annotation :

On doit cuisiner des plats, les envoyer en salle, laver les assiettes et ne rien faire cramer...le tout dans les pires conditions possibles! Chaque joueur doit faire sa part sans ralentir les autres et sans interférer, tout en essayant de rattraper les catastrophes inévitables. C'est vraiment hilarant à deux ou plus. Et très vite chaotique dans le bon sens du terme.

Annotation :

Finalement rien d'extraordinaire en terme de prise en main en comparaison des autres jeux Rare. Par contre l'univers qui casse complètement l'aspect initialement mignon de sa présentation, ça c'est pas mal. Il y a pas mal de blague infantiles, mais qui vont assez loin pour que ça en devienne vraiment marrant. Je pense par exemple au Great Mighty Poo; ça pourrait être juste un tas de merde qui parle en guise de boss. Sauf que ça va jusqu'à lui donner une chanson sur sa condition de tas de merde et on le bat en lui balançant des rouleaux de PQ dans la face, ce qui est assez extraordinaire. Et le jeu regorge de vanne de ce style qui vont juste assez loin pour être vraiment drôles et ne pas s'arrêter à la simple référence.

Annotation :

Même commentaire que pour le premier, avec l'ajout de la possibilité de jeter des trucs que ce qui permet encore plus de ratages à mourir de rire (balancer un truc bien long à cuir pour qu'il atterrisse dans la flotte, dans une poubelle etc.

Annotation :

C'est South Park. Si South Park vous fait rire, le jeu en fera de même, ne serait-ce que par l'univers et les références à la série qui pleuvent. Là où c'est pas mal cependant, c'est quand l'humour des créateurs transparaît également dans le gameplay. On a affaire à un jrpg en terme de mécanique, mais certaines attaques sont d'une débilité tellement profonde! Et des détails comme le fait de pouvoir aller aux toilettes, récupérer son caca et le jeté dans la face de quelqu'un en combat pour le dégoûter et lui donner un malus, ça fait que le charme scatophile de la série transparaît aussi au niveau des mécaniques de jeu et pas simplement dans l'enrobage.

Annotation :

Comme je le dis dans la description, ce qui me fait rire, c'est la juxtaposition du thème et de son gameplay qui sont complètement en contradiction. Ça et le fait que l'on puisse réussir une opération avec succès alors que le patient se fait démonter à coup de bistouri.
Je pense que ce qui manque au jeu, c'est juste un peu de finition et un gameplay un tout petit peu moins bordélique. Il faudrait que ça reste n'importe quoi, mais peut-être en diminuant un tout petit peu le bazar dans la zone de jeu...

Annotation :

C'est de l'humour slap-stick tout simplement. Balancer un être humain le plus fort possible contre le plus d'objets possibles pour qu'il se fasse le plus mal possible. C'est con oui. Mais c'est drôle!

Annotation :

Chaque jour doit constituer, au tour par tour, une insulte, la plus longue, la plus idiote, mais aussi la plus efficace possible. Et parfois les combinaisons sont juste hilarantes, et le deviennent encore plus prononcées par les voice-actors du jeu. À jouer en petite dose par contre, pour ne pas épuiser le potentiel comique du jeu.

Annotation :

C'est surtout dans les dialogues et les personnages que l'on trouve l'humour du jeu. Les mécaniques aident assez peu l'effort global, si ce n'est pour l'Objection qui en fait des caisses bien comme il faut.

Annotation :

C'est surtout l'écriture qui fait son effet. On a parlé cent fois déjà de GladOs et clairement, elle fait le show.

Annotation :

Comme Portal, c'est l'écriture qui fait le job essentiellement. Le narrateur ajoute tellement à l'ambiance du titre.

Annotation :

Je le mets parce que c'est probablement un des jeux buggés qui m'a fait le plus rire. Il y a de quoi vraiment se fendre la gueule en foirant complètement une séquence supposément stylée avec un atterrissage foireux ou une IA qui fait absolument n'importe quoi.

Annotation :

Un humour de dessin animé des années 90-2000 qui marche bien sur moi et une jolie réalisation. C'est surtout les dialogues qui me font à minima sourire et au mieux rire.