Les livres avec les meilleurs méchants selon Louve d'Avalon

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Milady de Winter : Victime tragique et meurtrie aussi bien que génie du mal manipulateur, cruel et cynique au charme vénéneux et à l’intelligence hors du commun. Prête à tout pour l’argent et la gloire et parfois par vengeance. Séductrice intrigante mais méprisante envers la gente masculine, mystérieuse espionne au service de Richelieu mais aussi de ses vendettas personnelles et mère à la fois indigne et aimante d’un fils non désiré. Elle est finalement rattrapée par son passé.

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Bella Black Lestrange, "the Dark Lord most loyal servant" : C'est le genre de méchant qu'on peut pas s'empêcher d'aimer. Mais on est tous d'accord que sans Helena et son interprétation totalement déchaînée, le personnage ne serait pas aussi populaire mais j'adore aussi la version des livres. Elle est, certes, un électron libre, sauvage et sans limite, et instable mentalement mais attention, derrière elle est aussi la plus dangereuse, étant l'incarnation parfaite de la perspicacité des Serpentard. Pis il lui reste quand même un peu de sentiments humains lol

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Iago : Mélange subtil et explosif d'ambition, de frustration, de ruse et d'absence totale de morale.

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Comtesse Mahaut d'Artois, paire de France : la force conspiratrice du roman prête à toutes les intrigues par calculs politiques.

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Baron Vladimir Harkonnen : corrompu, cruel, sadique et ambitieux, il est l'avidité et la tyrannie personnifiées.

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Marquise de Merteuil : Le libertinage se mêle à la cruauté d'un esprit manipulateur et perverse. Elle n'est jamais sincère, sauf avec un seul personnage, son ami et ancien amant, le vicomte de Valmont. En se confiant l'un à l'autre, ils ont développé une forte complicité. Celle-ci demeurera toutefois teintée de rivalité. Au cours du roman, la rivalité va s'intensifier, pour se terminer en véritable guerre mais le roman laisse sous-entendre une tendresse et un amour qui ne s'avouent que difficilement.

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Frollo, l'archidiacre de Notre-Dame : Intellectuel brillant, avide de connaissance et de reconnaissance sous couvert d'une sainteté feinte. Froid et calculateur, conquérant dans son œuvre, violemment passionné bien que manipulateur. Se considérant lui-même comme malheureux et incompris, il cherche continuellement à travestir son égoïsme foncier et à se donner l'apparence d'une figure romantique.

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O'Brien : Membre du Parti intérieur, intelligent et charismatique. Il est impitoyable, fanatique envers le gouvernement, sadique et aime lui-même utiliser la torture.

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Waleran Bigod : manipulateur furieusement opposé au Prieur Philip, il a une foi profonde en Dieu, mais est aveuglé par sa propre ambition et sa haine de Philip et de sa cathédrale.

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Le Comte Olaf : Sadique, mégalo, cruel, il est fondamentalement incapable d'envisager la possibilité utopique qu'il ait tort.

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Messala Severus, tribun militaire de Judée : Noble romain qui fut l'ami d'enfance de Ben-Hur, il est ivre de la puissance que lui a conférée l'empereur romain du moment et arrogant, alors que Ben-Hur ne souhaite que vivre en paix, malgré la rébellion qui menace en Judée. Devant choisir entre son amitié envers Messala et sa loyauté envers son peuple, Ben-Hur choisit la loyauté. Ce qui lui vaut la haine de Messala. Ce dernier trahi alors son ami qu'il sait innocent. Après la mort de Messala, Ben-Hur comprend que le tribun était un homme bon corrompu par Rome.