Les meilleurs albums brésiliens selon Nathanaël Poilane

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LE disque brésilien à connaître, extrêmement influent, riche, magnifique de bout en bout (cf. ma critique)

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Jobim s'éloigne des codes de la bossa nova et s'aventure dans une musique plus personnelle, plus audacieuse, qui le consacre comme un des compositeurs les plus talentueux du XXe siècle.

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Sorti juste avant le chef d'oeuvre Clube da Esquina, cet album est une sorte de coup d'essai ; on retrouve l'inspiration foisonnante et la richesse des arrangements, mais de manière moins maîtrisée que dans l'album suivant, avec un moins beau son aussi.

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Un album encore très expérimental de Milton, moins cryptique que le précédent mais assez sombre également.

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Une fourmilière de petites idées jamais complètement exploitées, des morceaux très courts tous aussi beaux les uns que les autres, qui laissent rêveur et font marcher l'imagination

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MPB

Dans la lignée directe de l'album "Clube da Esquina", sur lequel Nelson Angelo joue de la guitare, cet album mélange des véritables pépites pop avec des expérimentations audacieuses toujours très élégantes.

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Violent, riche, émouvant. Un travail sur le son, l'ambiance. L'art contre la violence de la dictature militaire. La plus belle des réponses, presque sans un mot. Juste des notes, des sons étranges, angoissants.

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À mi chemin entre bossa et guitare classique, Luiz Bonfa expérimente avec beaucoup de subtilité l'utilisation d'effets électroniques sur sa guitare classique, et notamment la pédale wah-wah. Cette sonorité étonnante combinée à l'inventivité et la richesse harmonique et mélodique du jeu de Bonfa en font un disque merveilleux... et quel son...

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La sensibilité musicale de Jobim avec un orchestre derrière, c'est magnifique

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C'est ainsi que sonne l'élégance

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L'album de la joie ! Même si la musique de Jorge Ben se ressemble toujours un peu, il se dégage toujours une joie et une énergie extraordinaire. Dans cet album, on retrouve des morceaux comme "O Telefone Tocu Novamente" ou "Charles Jr.", qui font partie de ces quelques morceaux qui, à la première écoute, résonnent comme si on les avait toujours connus.

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Le disque fondateur de la bossa-nova. C'est ainsi qu'il faut le prendre pour l'apprécier à sa juste valeur, çar il y a eu plus audacieux après, mais l'innovation et l'importance historique de ce disque le rendent indispensable

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Le seul disque brésilien que j'avais à la maison quand j'étais petit, porte d'entrée géniale dans la musique de Jobim avec des reprises de plusieurs de ses meilleures compositions