Les meilleurs albums de 2016 selon Adrast

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Mon album à textes de l'année, mon plaisir coupable aussi. La note a au final que peu d'importance, je suis assez incapable de lui attribuer une note. Ça reflète davantage le temps que j'y ai passé et l'emprise qu'il a eu sur moi. L'album le plus écouté de l'année, le plus obsédant (merci la langue de Molière).

Source : jesépu. Beaucoup de hasard j'imagine.

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Au-dessus c'est Satan.

Pas très surprenant mais toujours (x1) aussi fascinant. On y revient toujours (x2) avec l'espoir d'en puiser la quintessence mais on repart toujours (x3) la queue entre les jambes, tout penaud, ébaubi et abasourdi. Sans rien comprendre, ou très peu, on trouve ça génial. Sûrement la meilleure définition de l'art (metallique) actuelle.

Source : partout

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Ô à toi, le très haut.

Facile d'accès mais d'une richesse assez insondable, par sa longueur notamment, qui est loin d'être un handicap, mais contribue d'autant plus à s'immerger dans cette messe noire.

Source : Thrasho, le concert avec Inquisition.

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Assez incapable de le noter. Aucun morceau ne se détache vraiment, à tel point qu'arrivé à la fin on a l'impression de revenir au début de l'écoute, comme si la boucle se faisait naturellement. Une sorte de Jazzy Post-Black déglingué assez immémorable.

Source : SC, Terro

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Epic & Emotional PV/Grind/Crust, avec moult mélodies et riffs bien sentis, sans temps mort.

Source : BU-BU

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Noisecore de folie, à balle.

Source : top 10 Rolling Stone mag (lelelelel)

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L'avenir sera aux femmes castratrices ou ne sera pas. Chant désabusé à la Shannon Wright, vengeur comme un Savages couplé à Bonnie Tyler, avec une pincée de ton rigolard jaunard à la Siouxsie. Minimalisme incantatoire, guitare pesante et bouts de ficelles de claviéristes.

Source : Noise mag.

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Seul "Chasm of Fire" et son final en lyricisme Postcore (comprendre Sludge ou Post-Metal, pour ceux qui ont fait leur culture avec Last.FM) est vraiment intelligible, mais comme pour le dernier DsO, cet album d'Ulcerate a quelque-chose de passionnant. Passionnant, et non pas fascinant, car il ne possède pas ce souffle divin rallongé de soufre, mais en impose de toute sa lourdeur Death d'arguments. "Le poids des riffs, le choc des motifs", comme dirait Paris Biatch.

Pour faire simple et répéter ce que je dis souvent, c'est un "album-expérience" viscéralement narratif, parcouru de beaux instants fugaces qui filent au vent, qui disent des choses dans une langue que l'on ne comprend pas mais qu'on se plait à écouter pour ce qu'elle exprime d'exotisme et de nouveauté. Un adieu au langage post-Jean-Cul' Grodard.

7,77.

Source : Thrasho

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Du bon BM qui met l'accent sur l'atmosphère, le côté "dark", sans grande originalité mais avec une putain de classe et plein de bons/très bons morceaux. Particulièrement fan de la prod qui résonne assez sans tomber dans le trop boursouflé.

Source : Thrashocore

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Majestueux, envoutant et mystique. Un gros morceau de l'année, pour sûr. Breach a définitivement bien muté.

Source : Terro

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Machine à riffs et boîte à tubes. Du Sludge bien gras mais racé au Punk, avec chant aigu revendicatif proche des premiers Kylesa. A réécouter, peut-être juste un 7 coup de coeur à la longue.

Source : Terrorizer

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J'crois qu'y a pas à chier sur le thon mité, c'est du très bon. Peut-être un peu trop perdu dans son errance interstellaire. En tout cas ce Death Metal futuriste en fait voir des bonnes, des vertes et des panurges. Des riffs qui ressemblent à rien si ce n'est ceux d'un Cynic sous LSD qui aurait trop bouffé de Morbid Angel. 7,77, mais ça vaut plus en vrai. La preuve qu'on peut faire du fantasmagorique sans se gaver de synthés foire du trône (coucou Summoning).

Source : Terrorizer

Annotation :

Un peu, beaucoup. Ah ! La folie. Ordo Ad Chao galaxie cocore.

Les morceaux en soi ne sont pas exceptionnels mais l'ensemble est cohérent et a une certaine classe, malgré le relatif manque d'originalité. On est assez proche de DsO dans la dissonance, le background Hardcore chaotique allah Comity en plus.

Un bon 7,5 en fait.

Source : ton choix dans la date de concert, SC.

Annotation :

Du riff et de la vélocité pour un BM qui retient l'attention et déçoit très peu. Mélodique tout en étant épique et corrosif.

Source : Thrasho, SC

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Hardcore/Metal véloce, sale et désabusé avec une batterie qui D-beat à bloc, à la frontière du Crust. Un album qui a des tripes et du cœur. 7,5

Source : Terro

Annotation :

Source : New Noise mag

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Je pourrais mégoter, ergoter, merdoter, y'a pas à foutre, cet album a plus d'un argument dans son tiroir-caisse. Du BM véloce et quasi-historique bien produit qui s'écoute en boucle. 7,5, pour pas dire 8, parce que les mélodies sont parfois un peu trop passe-partout par rapport au morceau lead de l'album : "Là où nous allons".

Source : Bone Garden Metal Room (Plug.DJ).

Annotation :

Math/Grindcore comme à la bonne époque. 11 minutes de supplice savoureux.

Annotation :

BM de vacances à Marseille. Sur le porc de la bonne mer, entre poisse et poiscaille, les doigts collés au macadam des ruelles sombres et tièdes, la nuit moite. Polisse, vous êtes cernés, place aux lunettes de soleil. Plaisir coupable de l'année, un autre.

Annotation :

Nails mange ses morts. Cocore à l'envi.

Source : CoreAndCo

Annotation :

Crossover coldé, moins Hardcore que Crown of Thornz mais dans la droite lignée quand même. Vraiment une bonne surprise. Pas foncièrement original, mais se démarque dans le paysage actuel.

Source : Terrorizer mag

Annotation :

Death Portalien sous amphét'. Petit côté Sludgy en plus pour varier les plaisirs. Des morceaux qui en général auraient gagné à durer pour développer un univers mais globalement c'est du tout bon.

Source : Terro

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Le Deafheaven du BM orthodoxe et maladif. Remake d'Echo the dolphin, dans une mare de sang. La baleine de GroGerra n'a qu'à bien s'tenir.
"Eh ooooooh <<<<<<<---->>>>>>> Eh oooooooh"
Album-expérience, comme dirait l'autre.

Source : OdiumNostrum (YouTube)

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Plein de bons morceaux et un fond touffe guy bien rapeux en arrière-train. A réécouter pour sûr. Facile d'accès et en même temps assez dur à appréhender par sa longueur et sa richesse masquée.

Source : SC.

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Plus 6,5 en fait, mais la mandale est forte quand même.

Source : "Best New Noise", Decibel Magazine.

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De la folie douce cet album. Alors qu'on pourrait s'attendre à ce que ça débande sec, au contraire les compos s'enfilent à plein tube.

Source : le soupir gris.

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Possible 8, à voir après plusieurs écoutes.

Source : SC, Noise mag

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Idem, j'aurais pas dû les louper à l'Ubu. Assez hipstero-bobo dans le fond, mais les compos font souvent mouche, et la certaine candeur juvénile qui s'en dégage, à la fois innocente et dépitée, est vraiment enthousiasmante.

Sûrement le deuxième album que j'ai le plus écouté cette année, petit bout par petit bout, comme dirait Christiane. Merci V-veaux.

Source : Eklektik, Prog Ubu

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Indus/Trip-Hop/Psyché à chanteuse typée berlinoise 80's (petit sosie de Shannon Wright). Un manque d'homogénéité et d'enchaînement logique entre les morceaux, avec une fin qui laisse sur sa faim, comme en concert. A part ça y'a au moins 3 bons bons morceaux qui sauvent plus que bien la mise.

Source : concert à Rennes.

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De la technicité dans ta gueule en veux-tu en voilà. L'énergie du Grind couplée aux riffs syncopés d'un Converge, le groove du Death allah Suffocation, et de la louche de Deathcore pour moderniser tout ce son et plaire à la jeunesse en fleur. Vraiment un bon parpaing bien envoyé. 7,5.

Source : Terrorizer mag.