Les meilleurs albums de 2024 selon Docteur_Jivago

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Un grand cru Jack White, qui revient ici vers un bon vieux son rock/blues bien gras, rappelant assez vite les White Stripes.
Tout s'enchaîne avec fluidité, il est inspiré, pas de fausses notes, quelques grands moments (That's How I'm Feeling, Archbishop Harold Holmes, What's The Rumpus?, etc), des gros riff comme on aime et, encore une fois, un retour vers quelques sonorités plus blues où il est vraiment inspiré.

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Yeah !!

Découvert il y a quelques années grâce à El Grande OG, quel plaisir de retrouver Slift avec Ilion, une entrée dans un univers musical formant une entité propre et non un regroupement de chanson.
Ici, du rock lourd psychédélique, une ambiance sombre, l'impression d'être inspiré dans l'immensité et le vide de l'espace, sans aucune fausse note, avec des pics créatifs et des changements de rythme bien sentis (Weavers' Weft, Uruk, The Story That Has Never Been Told ...).
Bref, du très lourd.

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Wahou, ça claque !
C'est hard rock, voire plus, assez mélodique, limite prog à certains moments, et ça fonctionne, c'est comme rentrée dans un univers magique le temps d'un album.
Les riffs sont mémorables, c'est souvent envoutant, à l'image de Shallow Nights, avec en prime un solo assez démentiel !

Merci El Grande OG !

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Common Love Common Nausea est un premier album sincère et superbe, où Calcine nous rentre dedans, nous fait bouger, avec des riffs extra, une rythmique extrêmement solide et une voix féminine permettant aussi tout cela.

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Album assez étrange, avec un sentiment d'un groupe qui s'est assagie. Ici, la veine punk/bordélique/énergétique du groupe n'est peu/pas représentée, contrairement à celle des mélodies et de la pop.
C'est cet aspect là qui est mis en avant par les Pixies avec The Night the Zombies Came, offrant ainsi un album plutôt réussi, à défaut d'être marquant ainsi qu'innovant. Il n'y a pas vraiment de fausses notes, une atmosphère plutôt douce traverse l'album contrairement à ce que son titre pourrait présager.

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Yeah !
Certes, on ne peut pas dire que Be Right Here apporte beaucoup de fraicheurs, mais Blackberry Smoke fait ce qu'il sait faire, un blues/rock sudiste, plutôt facile et assez accrocheur, et ça marche.
Aucune réelle fausse note et quelques morceaux vraiment sympas comme les calmes Be So Lucky et Azalea ou le bon vieux rock Little Bit Crazy.

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Plutôt axé rock alternatif, Veil, dernier album du groupe français Lysistrata est plutôt réussi, constant d'un bout à l'autre, avec ce qu'il faut d'inventivité pour ne pas paraître répétitif, on retiendra quelques chansons en particulier comme Horns, véritable bijou, ou Feel the Shine et sa basse démoniaque.

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Je découvre Johnny Mafia (groupe de l'Yonne, à souligner!) pour l'occasion, du punk rock très bien ficelé et efficace. Pas grand chose à jeter, c'est lourd et énergétique.

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ça faisait longtemps que je n'avais pas écouté Green Day, et si j'appréciais, je n'en étais pas fan non plus, et c'est un peu au pif que je tombe sur Saviors, et quelle bonne surprise !

Un vrai bon album de rock, plutôt brut et électrique à quelques belles exceptions (Father to a Son), avec des touches plus légères (Bobby Sox), donnant quelques chansons énergétiques qui donnent furieusement envies de taper du pied (Look Ma, No Brains!, Saviors etc) ainsi que quelques curiosités (Fancy Sauce), le tout sans aucune fausse note.

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Je découvre Dool (merci El Grande OG !) et franchement, ça vaut le coup, du rock lourd, ambitieux, avec des accents un peu prog (un peu), et une atmosphère plutôt sombre. Les riffs sont graves, les titres s'enchaînent et ne forment qu'un, et aucune fausse note.

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Du bon vieux Death Metal comme on aime, ce qu'il faut de violent, tout en ayant des mélodies intéressantes, et, évidemment, des solos d'envers (Black Wings of Desolation par exemple !).

Bref, je découvre Witch Vomit, et j'apprécie, merci Raton !

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Je découvre Blood Incantation avec Absolute Elsewhere, et c'est prenant, l'ambiance est soignée, c'est envoutant souvent, cosmique beaucoup, avec une alternance réusie entre moments calmes et d'autres plus métal. Quelques riffs sont vraiment explosif, et donnent envie de bouger la tête dans tous les sens.

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Du rock bien lourd, à l'image de sa rythmique, assurant un bon tempo sur lequel la guitare peut poser de mélodies plutôt sympas, donnant envie de bouger la tête. On retrouve le côté stoner qui faisait la réussite du premier album, l'ambiance un peu poussiéreuse, l'impression de se retrouver dans un désert perdu, entouré de cactus, quelque part dans l'Arizona.
Dans l'ensemble, aucune fausse note, et pas mal de titres sortant du lot, à l'image de Share Your Pill ou de Really Out.

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Slash n'a jamais été un grand compositeur, d'où les nombreuses reprises qui ont jalonné sa carrière lorsqu'il n'est pas entouré de compositeurs justement.
C'était donc logique qu'il (re)vienne vers l'album de reprise, axant ici sur des standards blues.
Il fait dans la facilité, il s'entoure d'artistes déjà connus et cible des chansons déjà très connus dans le monde du blues/rock.
Alors, rien que pour ça c'est dommage, Slash reste un grand guitariste et on se doit d'être exigeant, il n'apporte rien à certaines chansons comme Crossroad déjà mainte fois (et merveilleusement) reprise.
Il reste tout de même de bons moments, comme Killing Floor avec Brian Johnson & Steven Tyler, ou sa version hard de Oh Well des Fleetwood Mac. Mais au final, c'est un album qui s'écoute agréablement, où Slash fait parfois parler son feeling à la gratte, mais qui s'oublie vite, très vite...

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Ce qui est bien avec King Gizzard & The Lizard Wizard, c'est qu'on sait jamais sur quel style on va tomber.
Pour Flight b741, ils vont puiser dans le blues/rock américain 70's (steppenwolf, etc) et ça fonctionne bien, même si parfois ça manque d'âme. Comme s'il voulait copier ceux qui ont façonné ce style mais sans imagination.
Au final, ça rend bien, c'est sympa mais on passe vite à autre chose.

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Je connais peu Magnum, groupe prog des années 1970 qui continue encore son chemin, et si cet album sent un peu le réchauffé, il n'en reste pas moins sympathique, grâce à l'aspect mélodique principalement.
Il y a parfois un côté "rock prog de stade" qui gâche un peu les bonnes idées et les mélodies sympas.

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Je n'avais jamais écouté Bruce Dickinson en solo, le résultat est sympathique à défaut d'être mémorable. Il parvient un peu à se détacher d'Iron Maiden, s'il ne peut changer sa voix, le style musical se détache un peu, bien qu'on reste dans un métal/hard rock plutôt old school.

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Un album à ambiance, sympathique et plutôt prenant.
Merci El Grande OG

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Un album hommage à Lou Reed guère intéressant dont on ne retient, au final, pas grand chose, si ce n'est un surprenant Keith Richards sur Waiting for my man.

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Mouai, ce n'est pas mon truc du tout, une sorte de pop tout droit sorti des années 1980, avec quelques "accents rocks" guère inspirés. L'impression d'avoir déjà entendu ce genre de truc un paquet de fois.