Les meilleurs albums qui vous ont fait aimer la musique selon Flavien M

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Découvert grâce à mon père, l'album qu'il préfère du loner, je crois, il le passait souvent quand j'étais gamin (enfin de ce que je me souviens) et c'est resté depuis.

Dans le même ordre d'idée, j'aurais pu mettre le best-of de Kate Bush (oui je sais, c'est idiot de mettre "best-of de").

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Pareil, lors de l'enfance, un disque qui tournait très souvent et qui reste mon préféré de Stivell.

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L'artiste préféré de mon père qui a presque toute sa discographie, il la passait souvent, ayant une préférence, il me semble, pour ses premiers disques, mais c'est les titres de celui-ci, plus direct, qui me sont les premiers restés en tête.

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Le seul album du groupe possédé par mes parents, débordant de tubes, qui passait souvent, je me souviens de mon père me parlant du jeu de Knopfler sur le solo du titre éponyme. Pas mon préféré du groupe, mais celui qui m'a plongé dedans.

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Un peu plus vieux, écouté au collège en même temps qu'Iron Maiden, Nirvana, Black Sabbath ou le premier Ozzy Osbourne, qui auraient aussi pu figurer dans cette liste.

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Une grosse étape, un peu comme pour le Blind GUardian ci-dessous, c'est la période à laquelle je commence à écouter plusieurs heures de musique par jour et à écouter par album, là où auparavant j'écoutais des morceaux dispersés. Les albums de Nightwish, dont j'aimais beaucoup de titres, font sans doute partie des premiers écoutés entièrement.

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La baffe du lycée, un vrai tournant dans ma recherche de toujours plus pour retrouver ce plaisir de la découverte et de la claque procurée par la musique. Je deviens doncplus actif qu'auparavant.

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Découverte plus tardive, j'écoutais déjà beaucoup de choses, un peu de tout dans le metal, heavy, sympho, prog, mais aussi death ou black vers lequel j'avais commencé à me tourner tardivement. Cet album est aujorud'hui l'un de mes disques fétiches et m'a prouvé qu'on pouvait continuer à prendre des baffes intemporelles après tant d'écoutes et qu'un album pouvait s'ancrer dans votre vie sans l'effet madeleine de Proust. V: Havitetty de Moonsorrow a un peu eu le même effet.

Un vrai moment de liberté, l'impression que tout reste possible et une vision de 'linfini du plaisir musical.

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Un peu le même effet qu'Agalloch dans un autre style, avec le plaisir de découvrir la discographie d'un groupe qui a su évoluer, mais qui garde une constante, l'émotion procurée et l'impression de ne jamais pouvoir m'en lasser, que ce soit la période Fish ou Hogarth. Et le plaisir, aussi, de redécouvrir certains albums et de les réévaluer à la hausse, la découverte sur le long terme.

Et en plus des raisons sentimentales personnelles très liées à ce groupe.

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Un album écouté assez jeune mais qui ne m'avait pas spécialement marqué, comme pas mal d'autres choses (du King Crimson, du Genesis...), redécouvert sur le tard de par son statut, et là encore un gros plaisir de replonger dans quelque chose d'oublié et qui ouvre des portes infinies. Et là aussi c'est pas mal lié, comme pour Marillion, à des moments de ma vie qui ont beaucoup compté pour moi.