Les meilleurs biopics selon Mogadishow

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J’ai beaucoup hésité à le mettre dans le top parce que ce n’est pas tant un biopic de Zuckerberg qu’un film sur la naissance de Facebook, mais c’est un tel Classic, un tel B-ABA de ce qu’il faut faire pour raconter une histoire vraie et la rendre intéressante alors que le sujet n’est pas passionnant à la base que voici.
L’écriture du génie Sorkin, speed comme jamais, se marie parfaitement à la caméra de Fincher. Un Grand Film.

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Quand l’homme derrière la caméra transcende son sujet pour faire dire quelque chose de passionnant à un genre ultra-balisé. Un modèle de biopic.

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La Passion du Christ version démocrate. Un chemin de croix éprouvant mais indispensable et la consécration définitive de Steve McQueen en grand cinéaste de notre époque.

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En racontant 3 moments-clés de la vie du créateur d’Apple, le malin Danny Boyle esquive habilement l’écueil du biopic : vouloir tout dire, tout montrer. A la place il propose un point de vue et c’est exactement ce qu’on était venus chercher.

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Un perso passionnant, un casting 33 tonnes, un réalisateur au taquet. Une réussite en 2 parties.

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Adapté du journal d’Ernesto Guevara avant qu’il ne devienne le Che, Carnets de voyage est un morceau de biopic réussi et un road movie à travers l’Amérique du Sud qui l’est encore plus.
Contrairement à beaucoup de biopics au style pompier, il permet de comprendre sans interminables bla-bla comment se forge une partie de la personnalité d’un personnage historique. Alors certes, en se focalisant sur une partie seulement de l’histoire du Ché, on tutoie parfois l’hagiographie, mais mieux vaut ça qu’un mauvais film. Et si on veut un tableau complet, on ouvre un livre ! Simple. Basique.

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Portrait complexe d’un terroriste international qu’Assayas transfigure en héros moderne qui brûle sa vie comme ses ennemis ! Préférez la série au film of course.

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Un Scorsese bizarrement oublié alors que c’est une réussite intégrale portée par un duo Di Caprio - Blanchett fabuleux.

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Baz Luhrmann n’est pas homme à se trahir. Biopic ou pas, il ne dilue pas son style flamboyant même s’il coche toutes les cases du genre.
Austin Butler est une révélation.

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1er film de NWR en anglais et révélation au monde du charismatique Tom Hardy, Bronson est le biopic de celui que la presse a qualifié de prisonnier le plus dangereux de Grande-Bretagne. Un label prometteur sur le papier que NWR transforme en portrait sidérant d’une société face à sa propre animalité, naviguant avec brio entre un onirisme fiévreux et une ultra-violence réaliste. Là où d’autres auraient opté pour un traitement bas de plafond façon C News, NWR choisit de nous montrer l’art comme seule réponse d’une bête indomptable pour hurler à la face du monde son unique fragment d’humanité, la liberté.
Impressionnant.

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Dès son ouverture électrique avec Eazy E qui saute de toit en toit dans les rues de Compton, SOC vous saisi pour ne plus vous lâcher. C’est pas follement original mais le sujet m’intéresse, la musique est bonne, c’est bourré d’énergie et c’est très bien interprété.
Comme quoi il suffit parfois de faire simple.

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S’il est communément admis qu’il ne faut pas trop impliquer son sujet ou sa famille dans un biopic, ce Better Man prouve qu’à toute règle son exception.
Lucide et bourré d’autodérision, Robbie Williams livre une perf de haut-vol que ce soit en se doublant lui-même ou en tant que voix off.
Pour le reste, n’étant pas fan du chanteur même s’il m’est humainement éminemment sympathique, Better Man ne m’a pas trop intéressé sur le fond en revanche sur la forme, c’est très chouette, très original, à commencer par ce singe en motion-capture qu’on oublie finalement assez vite. Mais il n’y a pas que ca, un paquet de bonnes idées.