Les meilleurs documentaires sur le cinéma selon The Lizard King

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Retour en arrière sur le mythique film de Kubrick avec énormément d'informations très instructives.

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Voici donc la genèse de ce ratage insensé ayant eu lieu en 1977 lorsque Lucas décide de mettre en branle un petit quelque chose marketing pour maintenir l'intérêt sur Star Wars, étant donné que le seond épisode était encore en pré-production.

Et après l'avoir, vu, il y eu des shows TV bien pire autour de Star Wars...mais pas aussi controversé que ce truc où Papy Wooky se branle dans le salon en regardant un porno mental (intellectuelle, progressiste, zarbi..?) pendant que le reste de la famille grogne pendant 15 minutes et que la coke semble avoir inonder les narines de certaines personnes...

C'est fun et explicatif !

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Cette rencontre entre les deux stars de l'action des 80's est un moment très agréable où Sly et Schwarzy se laissent aller à quelques confidences et anecdotes intéressantes et ce, même si le tout est un peu court et ne fait que survoler leurs carrières respectives.

Alors ma note ne reflète pas tant le contenu (qui pourrait valoir un 7 tout au plus), mais juste le plaisir de les voir tous les deux plaisanter amicalement...

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Docs exhaustifs sur chaque film de la trilogie, ce Back... nous offre un voyage dans les coulisses des films...mais avec des modules ici et là, obligeant de charger chacun d'entre eux....Fastidieux !

Là où Wreckage and Rage, Dangerous Day... font un doc/bloc à la manière d'un film, ces petits satellites sont un peu frustrants car surtout pas intuitifs...

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Excellent doc très complet sur la carrière de ce cher Bela, ce Hollywood... explore tous les recoins de cette personnalité atypique consciencieusement.

Très instructif !!

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Le fait de me replonger dans la courte filmo de John m'a poussé à chercher un doc où je pourrais en apprendre plus sur l'homme, plutôt que la star...

Il est donc évident que je suis tombé sur ce "Belushi" et que maintenant, je connais bien mieux la personne que fut John.

Nous avons droit à des interviews audio de son entourage (son ex-femme Judy et son frère Jim, bien sûr) mais aussi des amis proches comme son comparse Dan Aykroyd, les regrettés Harold Ramis et Carrie Fisher, les membres du groupe Blues Brothers...

Ils retracent ainsi avec leurs mots le combat de John pour la célébrité mais aussi contre son addiction aux drogues dures, illustrées par de très belles animations...

Si vous aimez Belushi, vous aimerez "Belushi" car tout John est contenu dans ce doc...exceptée la responsabilité indubitable de Cathy Smith, curieusement éludée dans ce pourtant très documenté...doc !

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Pour une raison que je ne m'explique pas, je suis passé à côté de ce doc sur mon "père spirituel" pendant 17 ans (mieux vaut tard que jamais, comme dirait l'autre)...

Bref, retrouver Big John se trimballer dans sa Cadillac Seville 1995 dans les rues de L.A est fortement chouette, je dois avouer !

Notre charpentier préféré étant un homme humble et direct, ce n'est que régal que de l'écouter partager ses souvenirs et points de vues sur le ciné (Christine revalorisée bien que "commercial" selon ses dires, son "frère de travail" mais vrai "extrémiste" qu'est Kurt Russell, sa fatigue morale post Escape From L.A menant à son désintéressement du cinéma...) font de ce doc un très agréable moment à passer, malgré les interventions très "bobo" de Saada et Thoret qui cherche à intellectualiser le travail de John (alors que celui-ci insiste sur le fait qu'il fait un cinéma d'émotion et pas intellectuel) et le survol honteux de la majorité de ses films (une phrase sur Prince of Darkness, une poignée sur They Live !...) quand certains ne sont que purement "oubliés" (comme Memoirs of Invisble Man ou Village of the Damned).

Pas parfait mais toutes les interventions et de Big John et de certains membres de sa "famille" ciné (les acteurs Peter Jason et Adrienne Barbeau, le co-compositeur Alan Howarth, le producteur Larry Franco, la regrettée Debra Hill...) apportent suffisamment d'eau au moulin pour se délecter de chaque mot...

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Baumbach interview comme toujours DePalma et celui-ci raconte la genèse, le casting et le tournage de ce film mythique avec forces anecdotes extrêmement instructives.

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Doc concernant les SFX et les maquettes de la saga Gojira de 1954 à 2002 (d'ailleurs date de sortie de ce reportage et pas 2008, comme indiqué sur la fiche SC...), ce Bringing est intéressant mais le montage est très mauvais (ou alors surdécoupé pour insérer des pubs de merde) et c'est plus une sorte d'auto-éloge car nous n'y apprenons finalement pas énormément d'informations au vu de la promesse du titre...

Reste quelques anecdotes intéressantes, la présence des 3 interprètes de Gojia qui livrent leurs expériences mutuelles au sein du lourd costume.

Informatif, mais loin d'être exhaustif !

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Bien que retraçant correctement la trajectoire de Lee Ju Fan, ce doc ne parle pas des difficultés survenues entre le réal Lo Wei et Lee, ni de la frustration de ce dernier envers Hollywood et ses cases "à minorités", tout ça...

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Certains membres de l'équipe (acteurs, scénariste, technicien + Tom Savini) reviennent sur le tournage de la suite du mythique film.

Si l'on déplore l'absence de Tobe Hopper himself et Dennis Hooper (difficile de ne pas intervertir les patronymes, ici!), nous pouvons voir le très prolixe Lou Perryman (qui sera violemment tué, aussi dans la vraie vie), l'enthousiaste Tom Savini...

Très instructif !

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Pour ceux qui ne connaîtraient pas cette classification from Hong-Kong, c'est en fait l'équivalent du "X" chez nous et du "NC-17" aux USA, c'est à dire des oeuvres interdites aux mineurs de par leurs contenus (sexe, violence, citation du mot "Triades", ouais, je suis sérieux...)

De 1988 à 1997, la Category III a inondé les salles de ciné HK avec quelques bons films (Crime Story avec Jackie Chan) ou quelques galéjades plus ou moins barrées (comme Naked Killer, Robotrix...).

Instructif malgré quelques longueurs ici et là.

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Ce doc exhaustif revient sur la conception du film culte avec moult interviews, croquis, scènes de tournage, élaboration SFX...

J'en connaissais déjà pas mal sur ce sujet mais j'ai quand même appris beaucoup de choses sur les Terror Dogs et l'éminemment sympathique Stay Puft (et les aléas des cascadeurs).

Passionnant, donc !

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Ce doc retrace de manière exhaustive la genèse de ce film mythique !

Excellent complément du film où l'on assiste au tournage et même à la sortie en salles...

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Vous adorez Blade Runner?

Alors arrêtez de me lire et regardez ce monumental documentaire de presque 4 heures !!!

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Passionnant doc sur la genèse chaotique de ce film, Doomed... met à contributions tous ses intervenants (excepté Stan Lee qui a pris la grosse tête et est pourtant responsable de ce truc) sur ce qui était une bataille perdue d'avance.

En effet, The Fantastic Four n'a jamais été tourné pour être distribué dans les salles de cinéma (ni même en VHS) mais simplement dans le fait de maintenir les droits dans le giron du duo Corman/Eichinger ...

De fait, Doomed se voit plus comme un drame qu'autre chose, puisque la majorité de l'équipe croyait à ce projet, avant que la vérité ne les assaillent violemment.

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Que pourrais-je dire sinon que Jack est l'un des meilleurs acteurs de l'Histoire du cinéma, qu'il figure dans l'un de mes films préférés (The Shining) et qu'il est capable d'être un faux fou (Over a Cuckoos Nest), un vrai psychopathe (The Shining, Batman) ou une attendrissante tête de mule (As Good As It's Gets).

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Riche idée que de consacrer un doc sur cet artiste qui a enchanté nos yeux (et donné l'envie de voir les films qu'il illustrait) et faisant d'autant plus ressortir les abominables affiches modernes à coups de photos...photoshopées et/ou avec 300 personnages alignés sans aucune imagination...

Hélas, le doc aurait largement supporté un moyen métrage car la longueur finit par pointer le bout de son nez aux alentours de 50 minutes...
"Trop long pas bon" et du coup, j'ai décroché car après, ce n'est que redites.

Dommage.

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Portrait du Eastwood réal, ce doc fait la part belle aux témoignages de certains collaborateurs (acteurs, producteurs) ou réalisateurs (Scorsese, Spielberg...)

C'est simple, clair et précis, donc un bon moment pour connaitre cette légende bien vivante

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Documentaire initié par Holmes et St. Vincent, Exhausted n'est en fait qu'un moyen de se faire mousser en faisant avaler aux spectateurs de grosses et longues couleuvres (comme le fait qu'il serait diplômé de l'UCLA ou encore qu'il respecte les femmes - demandez-donc à Dawn Schiller ce qu'il en est...).
Produit et réalisé par sa girlfriend de l'époque Julia St. Vincent, Exhausted est une sorte de déclaration amoureuse envers The King of Porn.

Emaillé de scènes issues de ses différents films (et prenant malheureusement le pas sur le côté "interview"), Exhausted mérite alors son titre à mi-parcours (car signifiant "fatigué" en français).

Il est d'ailleurs à noter que ce doc est sorti dans le même temps que l'affaire de Wonderland Lane. Beau doublé pour la réputation de Holmes !

Pour ceux qui ont vu Boogie Nights, il est amusant de voir que le documentaire tourné par Amber Waves (inspirée par Julia St. Vincent) reprend entièrement la scène où Holmes et Chinn (Whalberg et Reynolds dans le film) sont interviewés et où l'acteur dit que son réalisateur le laisse choisir ses scènes, ce à quoi Chinn répond que ce n'est absolument pas vrai...

Bref, Exhausted est amusant de par la mythomanie de Holmes mais usant de par son utilisation intensive de longues séquences tirées de ses films les plus "fameux"...

Regard de la réalisatrice sur la drogue dans le milieu du porno:

"When I was in the business we were snorting lines that, we were hanging around with people that had nice executive homes, you know pool parties were happening, coke parties, getting all insane and we were at someone’s house with a pile of dope that was about that big (makes large gesture with hands) what quantity that is I have no idea, but it’s a lot (laughs)..."

Déclaration de Holmes:

"Holmes: "If a woman respects what you do, what you represent, and how you speak, how you carry yourself, you don’t have to be really macho you don’t have to be over complimentary, gain her respect and that’s treating her as an equal, don’t bullshit her, treat her as a human being, treat her as you would treat yourself. As soon as you have that respect from her, she’ll treat you with the same respect that you show ……then you fuck the shit out of her", dira t-il à la 21ème minute.

Paradoxalement, Holmes appliquait cet adage lors de ses tournages (les premiers temps, en tout cas), alors que dans sa vie privé, c'était tout son contraire, ce qui le tuera finalement !

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Documentaire un peu long sur les fanfilms et les fans...tout court, ce Fanarchy pose de bonnes questions et pointe du doigt les obsessions de ces personnes qui ne vivent que pour leur personnage favori...

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Très intéressant doc (où Cronenberg est le grand absent) de la genèse à la sortie du film avec force anecdotes.

Un poil bavard (surtout Goldblum) mais très instructif.

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Verhoeven revient avec grand plaisir sur la genèse de ce film mal né avec ce titre ridicule en anglais (RoboFlic) mais qu'il apprit à aimer pour en faire le film que nous connaissons tous!

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Toujours un plaisir que de voir le regretté Bill prendre un malin plaisir à se mettre en avant tout en restant humble (un beau paradoxe, tout comme la carrière de ce cinéaste !) et ayant quand même offert au moins 4 chefs d’œuvres dans des genres très variés et quelques excellents films (pas l'apanage de tous les réals...).

Ici, il revient sur sa carrière et livre quelques anecdotes inédites, l’œil pétillant et le verbe haut et le plaisir se répand!

Mais je trouve fort dommage que Cruising soit à peine évoqué et que Rampage soit totalement oublié (même si je sais que Bill ne le portait pas au pinacle de son propre aveu) et j'avoue que j'aurais bien voulu qu'il parle aussi du bizarre The Nurse.

On peut pas tout avoir m'enfin, on en a déjà beaucoup ici !

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et excellent doc sur ce qu'est réellement la production d'un film est un must-to-see pour ceux que le cinéma dans sa globalité intéressent,

Un grand moment donc, pour les vrais passionnés de cinéma, je veux dire ceux qui ne s'intéressent pas qu'au film lui-même mais à ca propre création avec toute l'équipe qui y contribue.

L'on y apprend beaucoup de choses entre les assistants réals ou acteurs ou producteurs + les tout-puissants syndicats extorqueurs, la gestion du budget...

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Ce doc retrace la production chaotique de la suite controversée du hit de 1986, où une grande partie de l'équipe témoigne des aléas dus à la chute de l'économie de l'Argentine (où le film fut tourné pour profiter d'aides financières, le comble !), du scénario déjà pas terrible à la base retouché par la compagnie d'assurance (le fameux "completion bond" que vous voyez à la fin du générique) et y ajoutant le truc extra-terrestre, les SFX visuels pensés pour être bleutés, mais devenus rougeâtres à cause de cette même assurance...

Exhaustif s'il en est, Seduced by Argentina couvre aussi la tenative de Mulcahy et de ses producteurs de réparer au mieux le film boiteux aux multiples version (US, Internationale, Director's Cut, Director's Cut agrémentés de nouveaux SFX largement meilleurs + le tournage d'une séquence abandonnée en 1990...)

Highlander II ne s'imposait aucunement (pas que que le III, IV et V) car le premier film bouclait déjà la boucle, mais bon...

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Pas le meilleur doc sur Lee, mais ça reste toujours intéressant voir, quoi qu'il en soit !

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Malgré son court format, ce doc nous montre combien l'ambiance semblait joviale sur le tournage et ce, malgré quelques problèmes de production comme une intoxication alimentaire ou encore la conception difficile du Predator lui-même.

Fun !

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Rétrospective sur le tournage de ce film où Berri, Lederman, Soral and Co partage leurs souvenirs de tournage avec Coluche.

Instructif.

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Quel plaisir de revoir:

- Big John (semblant bien plus en forme qu'il y a dix ans !),
- le très chouette (et le plus enjoué) Tom Atkins,
- la revenante Caroline Williams,
- l'inoxydable Sean S. Cunnigham,
- le père musical de Jason, soit Harry Manfredini,
- la toujours sublime Barbara Crampton,
- le pince-sans-rire Jeffrey Combs,
- Pinhead himself a.k.a Doug Bradley,
- le "créateur fou" Larry Cohen,
- Jason himself soit Kane Hodder,
- l'immense Keith Davis et j'en passe...

Tous ces gens-là ont participé à la vague horreur des 80's, époque bénie où les effets de plateaux (maquillages, animatroniques et autres) donnaient du corps aux monstres et/ou meurtres, au contraire des hideux, impersonnels et visibles CGI qui sonnent toujours aussi faux dans ce genre précis.

A découvrir sans plus tarder !