Les meilleurs films avec Elisabeth Shue selon Frakkazak
6 films
créée il y a presque 3 ans · modifiée il y a 3 moisRetour vers le futur 2 (1989)
Back to the Future Part II
1 h 48 min. Sortie : 20 décembre 1989 (France). Comédie, Science-fiction, Aventure
Film de Robert Zemeckis
Frakkazak a mis 7/10.
Retour vers le futur 3 (1990)
Back to the Future Part III
1 h 58 min. Sortie : 18 juillet 1990 (France). Comédie, Science-fiction, Aventure
Film de Robert Zemeckis
Frakkazak a mis 7/10.
Piranha 3D (2010)
1 h 28 min. Sortie : 1 septembre 2010 (France). Comédie, Épouvante-Horreur
Film de Alexandre Aja
Frakkazak a mis 6/10.
Annotation :
S'il m'avait forte impression à sa sortie, le revoir avec un peu plus de bouteille et sans les effets 3D du grand écran me font baisser la note d'un point, même si l'impression générale qu'y s'en dégage reste fondamentalement la même. Piranha version Aja, c'est un délire régressif mais bien troussé, du popcorn aspergé d'hémoglobine où la finesse et le double sens sont absents au profit d'une satire qui se tire une balle dans le nibard tant elle utilise ce qu'elle critique pour faire son beurre. Bref, c'est con mais c'est bon.
Hollow Man - L'Homme sans ombre (2000)
Hollow Man
1 h 52 min. Sortie : 20 septembre 2000 (France). Thriller, Science-fiction, Épouvante-Horreur
Film de Paul Verhoeven
Frakkazak a mis 6/10.
Annotation :
Si Verhoeven nous a habitué à plus caustique, il n'en reste pas moins que sa fascination pour les plus bas instincts de l'homme est ici bien exploitée, et que la mise en scène porte le tout avec panache. Malheureusement, un final grand guignolesque et très premier degré vient gâcher le tout.
USS Greyhound - La Bataille de l'Atlantique (2020)
Greyhound
1 h 31 min. Sortie : 10 juillet 2020. Drame, Guerre, Historique
Film de Aaron Schneider
Frakkazak a mis 6/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Touché-coulé : le film
Greyhound est assez particulier. On est face à une production au budget conséquent, et qui se pare donc d'effets plutôt saisissants. Tom Hanks monopolise la caméra, et se retrouve également au scénario, tandis que le réalisateur inconnu Aaron Schneider, s'il ne fait pas montre de virtuose, réussit à rendre une copie efficace et lisible. A priori, les ingrédients sont les bons, et la présence de Stephyen Graham en sus est toujours appréciable. Mais il y a un truc qui cloche, un blip sur le sonar.
On est dans un premier temps largué par tout le jargon technique, jamais explicité, et il faudra attendre la fin de la première traque pour commencer à saisir les différentes informations qui remontent sans cesse à Captain Hanks. En soi, c'est plutôt agréable de ne pas être pris par la main et de réussir à se maintenir à flot par contextualisation, là n'est donc pas le soucis. D'autant plus que cela participe à l'immersion dans l'état d'âme de notre protagoniste, s'abreuvant de datas et de café sans interruptions, et devant prendre des décisions charnières à chaque instant.
Enfin, cela marche sur le papier, mais dans les faits, l'intention est sabotée par un cruel manque d'âme à Greyhound, ce fameux blip. Le film ne raconte rien, et ce rien, il le raconte sans enthousiasme, sans énergie. Les personnages sont transparents, n'existant qu'au profit de Tom Hanks. Mais difficile de se sentir impliqué lorsque la seule chose que l'on connaît du personnage, c'est un flashback plat de 5 minutes, avant d'être largué directement dans l'action. Ce manque d'âme, de profondeur, aurait sans doute pu être en partie réglé par une durée plus longue, 1h30 pour un film de guerre étant anormalement court.
On est cependant loin du naufrage, Greyhound traitant d'un sujet assez original pour tenir le spectateur, et m'ayant fait, pour la première fois (et bien plus que l'étron de Peter Berg) fait visualiser une véritable partie du jeu Bataille Navale.
Chasing Mavericks (2012)
1 h 52 min. Sortie : 28 novembre 2012 (France). Biopic, Drame, Sport
Film de Michael Apted et Curtis Hanson
Frakkazak a mis 5/10.
Annotation :
Regular Wednesday
Le film est d'un classicisme confondant, tous les beats attendus d'un film d'apprentissage étant présents jusqu'au carton final, les personnages n'étant jamais plus que les archétypes qu'ils représentent, et les acteurs se contentant de faire leur taf. Mais on a quand même, en fin de course, deux-trois belles vagues bien filmées. C'est pas nul, c'est juste standard avec l'originalité du monde du surf finalement peut traité au cinéma.