Les meilleurs films de 2002 selon Adrast

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Ca avec Lady Vengeance, duo que j'arrive pas bien à distinguer, mais qui m'avait bien remué.

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C'est peut-être un peu trop mou aujourd'hui avec nos yeux et nos cerveaux de 2024 mais il a toujours pour lui une ambiance si spéciale, largement installée par les bruits ambiants et Ambient, et l'espèce de sentiment de réclusion induit par les appartements pourris de la cité des 1000 et une nuits. La vie citadine dans sa grisaille bétonnée. Pas pire qu'au Havre - la ville de notre futur prézidon si on vivait dans une France alternative où on ne discrimine pas un candidat sur son physique, au lieu d'ça on aura un 2e tour Attal/Bardella avec des castors à mâts pour faire barrage et en reprendre pour 5 ans de Macron bis, puis re-5 ans par derrière parce qu'Attal il est jeune et dynamique queuemême, et que la grosse réserve de voix des viocs multi-proprios se sera pas encore épuisée - mais pas vraiment mieux quand même.

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C'était bien mais relativement chiant dans mes souvenirs. Une narration trop appuyée et un peu poussive. Mais je peux me tromper.

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A revoir, j'avais aimé à l'époque.

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A revoir, sûrement pour abaisser la note.

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A revoir, mais je crois que j'avais trouvé ça relou, pour faire simple.

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Mention Marilyn Manson [Edit de Nantes de 2024 : merde il est cancel, abort the mission, abort the miche-heune]

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Je me souviens encore de ce prof attentionné dans sa montagne. Le genre de docu qui marque sans transcender le genre.

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Mention SF, un peu relou aussi mais avec du chien.

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Mention musique et jeunesse dans le vent.

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A revoir, pour le redresser.

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J'aime à peu près autant le style visuel Band of Brotherisé que la musique larmoyante et le patriotisme à outrance me débectent. L'horreur de la guerre, oui, mais toujours avec un drapeau américain qui flotte dignement sur le péron des bonnes familles américaines restées au pays. Le contenu est trop léger, on reste en surface sur tous les points, seule la commisération envers les soldats yankees tombés au combat surplombe, sans jamais en expliquer les causes, comme si après tout, tout n'était que fatalité. Merde, faîtes vos gauchistes un peu, j'sais qu'c'est pas évident dans un film avec (de quoi j'me) Mel Gibson mais bon...

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MIRAMAX, azy d'emblée ça pose le cadre. En gros c'est Harvey Weinstein : le film, à parler d'cul tout l'temps [eh vas-y on dirait moi à l'écrit, voire à l'oral, mais bon askip j'suis coincé, bloqué ou frustré, donc j'dois pas en parler tant qu'ça, ou alors justement "c'est ceux qui en parlent le + qui pratiquent le moins"] ou à s'adonner à la chose, à montrer comment le mec de Frida cherche à tremper son pipou dans toutes les moules à gars du quartier, en mode forceur, le plus souvent, en mode décontracté du gland comme Gégé les valseuses [toute ressemblance avec des Dom Juan Casanova polyamoureux libres boboïdes de la vraie vie véritable est purement fortuite]. Par contre ici y'a l'aspect coco superficiel que Weinstein n'a sûrement pas. Tellement coco-cucu r'bite-assé que même Lénine [nofake ils ont mis un Lénine KFC made in USA] baise comme un lapin, mais bon seulement avec Frida parce qu'après tout il vient à peine d'arriver en Amérique latine, il a pas trop eu l'temps de chercher à partir en tête à queue avec moult partenaires.

Sinon en-dehors de l'approche racoleuse de la vie de Frida, quasi reléguée au second plan au final, on a le droit à une bonne réalisation bien propre bien belle, avec une mise en scène gérant très bien les sons, la musique, les décors, pour maintenir un rythme suffisant pour ne pas ennuyer et conserver cette espèce de sensation dépaysante hispanisante de carte postale, depuis le menu du DVD [oui je suis un surboomère (ascendant surmulot), je découvre les DVD en 2024] jusqu'au générique de fin. Alors bien sûr pour l'exactitude historique et biographique je pense qu'on peut repasser MAIS c'est globalement du cinéma bien mené, et certainement un des meilleurs rôles de Salma Hayek, malheureusement un peu trop sous-utilisée, voire uniquement employée à contre-emploi essentiellement pour son physique bimboïsant, au détriment du développement de ses persos [Hitman & Bodyguard, Une nuit en enfer...], alors qu'elle a ce qu'il faut pour assumer des rôles plus profonds comme celui d'artiste torturée [oui c'est un cliché mais bon ça marche toujours pour retenir l'attention du spectateur] ci-présent.