Les meilleurs films de 2020 selon ServalReturns

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Une excellente surprise... La gestion de la tension est très réussie, le film ne ralentit jamais, le rythme reste soutenu jusqu'au bout, jusqu'à cette fin pour le moins surprenante... Adam Sandler est très bien, on dirait un mélange d'Al Pacino dans l'Impasse et de Jonah Hill dans Le Loup de Wall Street. Rien à redire, c'est très bien.

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Bon ben ça va, on est loin de la catastrophe annoncée... Alors OK, le film souffre de quelques maladresses gênantes (un militantisme trop démonstratif – défaut habituel chez Spike Lee –, des ruptures de ton curieuses, quelques passages grotesques et une bande-son souvent à côté de la plaque) mais enfin rien de dramatique. Ca reste un joli morceau. Parfois déconcertant mais toujours sympathique.

En revanche, Chadwick Boseman est très peu présent, ça m'a étonné, je pensais le voir beaucoup plus. En fait, le mec doit avoir dix minutes de présence à l'écran (pas que ce soit grave, il n'est pas charismatique pour un sou).

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Vu ce soir. C'était sympa. L'erreur des persos du film ayant été de pousser après le stade des 0,5g, je pense tenter le coup sans faire la même connerie.

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Bon eh bien c'était sympa. Comme d'habitude, une belle distribution de sales gueules (ce que j'aime bien chez Olivier Marchal, c'est que les truands ont toujours l'air crédibles - j'y croirais si on me disait que ce sont pour certains d'authentiques malfrats). Puis dix ans que je n'avais plus vu Lannick Gautry dans un film (quinze dans un vrai rôle), marrant de le retrouver ici, il a bien vieilli. Sinon, j'ai pas forcément tout compris (les grandes lignes quand même), beaucoup de personnages aux liens parfois un peu obscurs (Untel qui fait chanter Bidule qui tient Machin par les couilles parce qu'il se tape la femme de Truc, etc) mais globalement ça va. Ca fait le café. C'est correctement branlé, porté par un casting sympa et le rythme y est suffisamment soutenu pour que les deux heures filent d'une traite.

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Vu. J'ai plutôt aimé. J'avoue que les vingt trente premières minutes m'ont fait peur, avec ces innombrables évocations de noms que je ne connaissais pas et allers-retours dans le temps sans réel fil conducteur et sans enjeux apparents. Mais l'intrigue finit par se mettre doucement en place, le récit sur deux temporalités trouve son rythme de croisière et les personnages commencent à exister. La sauce a finalement pris. Et comme le film est sublime visuellement, même quand je ne comprenais pas de quoi parlaient les personnages à l'écran, le spectacle était là.

En tout cas, je ne regrette pas de m'être un peu documenté avant le visionnage, parce que ce n'était pas gagné sinon.