Les meilleurs films de 2025 selon Daziel

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Pendant plus de 2 heures c'est une déferlante d'émotions, de couleurs, de musique, un tourbillon qui nous happe jusqu'au clap de fin et plus loin encore.
Better man, enfin un biopic réussi. Je ne connaissais Robbie Williams que de nom. Je ne savais rien du chanteur, je n'avais jamais écouté sa musique. Je suis ressorti de la salle des étoiles plein les yeux, séduit par le film et le personnage.
L'idée du réalisateur, Michael Gracey, de représenter Robbie Williams en singe est géniale et donne une touche de fantastique au fil.
Bien que Williams se voie plutôt comme un lion, il a trouvé l'idée du singe parfait se qualifiant lui même de singe savant.
C'est le comédien britannique Jono Davies qui donne vie au singe avec l'aide du studio Wetaa FX connu pour ses réalisations sur Avatar et la planètes des singes.

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Un Robert Pattinson étincelant, un Bong Joon-Ho inspiré, un scénario original et bien maîtrisé, avec des émotions, de la tendresse, de l'amitié, de la compassiion aussi, des actrices et acteurs investis et présents, des créatures indigènes et des décors plus vrais que nature, font que cette histoire de colonisation d'une autre planète par un fou, bouffon mégalomane et cruel, résonne aujourd'hui comme un conte prophétique
Un pervers mégalomane qui entraine ses ouailles vers un futur censé éliminer toutes traces de ceux qui sont différents, en trafiquant l'histoire et en mentant sur ses véritables desseins à son armée de fanatiques endoctrinés et à la foule persuadée de faire partie de l'élite. ATTENTION SPOIL EN DESSOUS
SPOIL Le bien et l'amour finiront par triompher.

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La course au scoop de la chaîne de télévision ABC lors de la prise d'otages d'athlètes israéliens aux JO de Munich 72 par l'organisation terroriste palestinienne Septembre noir.
9 athlètes israéliens seront assassinés par le groupe terroriste.
Le Mossad n'aura de cesse de traquer et d'éliminer les cerveaux de l'attaque (voir le film Munich)

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Avec des acteurs pleins d'énergie qui jouent juste dont le duo Nykiya Adams et Franz Rogowski, Phénix fracturé, incandescent et la formidable mise en scène de Andrea Arnold.

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Partiellement et librement Inspiré de l'affaire Dutroux en Belgique. Les différentes force de l'ordre belges, PJ, gendarmerie et police communale se tirent la bourre et ne coopèrent pas entre elles malgré la gravité de l'affaire. 2 jeunes filles et 2 plus grandes ont disparues, enlevées par on ne sait quel pervers pédophile.

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Làzsló Tóth, architecte visionnaire, sorti vivant des camps de la mort nationaux-socialistes, immigre aux USA pour y refaire sa vie.
Un vécu d'homme, qui n'a pas voulu de la mort, qui nous incite à faire le meilleur pour gommer le pire.
Une grande fresque, une ode à la vie et à la beauté, portée par des acteurs, actrices éblouissants et la musique de Daniel Blumberg tout à la fois inquiétante, joyeuse et vivifiante.

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Revenge film, quartiers populaires de Nice, la guerre des maffias de l'est entre Géorgiens, bulgares et Russes. Évidemment violent, bien construit, avec des acteurs impliqués et des scènes chocs. Une autre bonne surprise.

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Quand les robots créés pour le seul plaisir des humains ne l'entendent pas de cette oreille. Un plan machiavélique permettra à Iris de se réaliser, de devenir autre chose qu'un simple robot aussi perfectionné soit il. Ça ne se fera pas sans casse ni hémoglobine.

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Le jouet démoniaque, d'un roulement de tambour amène mort et destruction et tient les 2 frères ennemis en son maléfique pouvoir.
Le film est mené tambour battant, avec une touche de gore et une autre d'humour.
Bref on ne s'ennuie pas.

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J'avais eu des échos qui me le déconseillaient. J'y suis allé quand même. Dès que j'entends le mot Wolf je fonce ! Et bien j'ai été agréablement surpris. Wolf man revisite le thème du loup garou de manière originale. C'est plus un film de terreur qu'un film gore comme on me le présentait.

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L'ours Paddington à la recherche de sa tante Lucy et de l'eldorado qui renferme bien des surprises. Avec sa famille d'adoption, les Brown , il traverse maintes péripéties dans une aventure pleine de mystères et de rebondissements, dans la forêt amazonienne et jusque dans les hauteurs du Machu Pichu. Il y trouvera la terre de ses origines.

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Un bon Marvel, bien construit, classique, avec de bonnes bastons et un Captain America en forme. Va-t-il pouvoir reconstituer les Avengers ?

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Un film sans prétention, sympa, sans atteindre des niveaux stratosphériques, se laisse regarder. Une histoire de famille où se mêlent amour, tendresse, amitié avec une touche humoristique pour emballez le tout à défaut d'emballer vraiment le spectateur.

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Tout le monde sait que l'éminence grise de Hitler était Goebbels. Le film ne nous apprend rien de plus sur les manipulations, mensonges et contre vérités du national socialisme.
Le choix des acteurs est peu judicieux. Robert Stadlober et Fritz Karl dans les rôles respectifs de Goebbels et d'Hitler sont à côté de la plaque, un manque criant de véracité.
Joachim Lang, le réalisateur, voulait un film démontant les mécanismes de la propagande nationaliste passée, en alternant images d'archives et film lui-même, film qui était censé pointer du doigt les dangers actuels de la propagande nationaliste, le danger d'un pouvoir aux mains de ces nationalistes.
Il s'est planté dans son entreprise, à aucun moment le film ne décolle pour dénoncer de manière plus judicieuse les dangers d'un repli sur soi.

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Documentaire mettant en avant le créateur des Stones, Brian Jones être fracturé, fragile mais talentueux et passionné. Amoureux du Chicago Blues, la musique des Stones ne sera plus la même après son départ.
Le documentaire manque de passion et de liant. Il déroule, monotone, ce que je savais déjà en oubliant au passage quelques autres faits troublants de la courte vie de Brian. Son décès marquera l'ouverture du fameux club des 27.

Annotation :

Le sujet de fin de vie aurait mérité un autre traitement que ce dilettantisme de mauvais goût. Les acteurs s'emmerdent, la réalisation est chaotique et le scénario à chier.
Et que dire de cette caricature des gitans, affligeante. Le gus il a jamais mis les pieds dans un camps manouche.
Film franchement dispensable.

Annotation :

Mon premier navet de 2025. D'une platitude rare pour un film de maison hanté. Rien qui puisse faire flipper quiconque. Nous déambulons dans la maison sans trop savoir où l'on va. Ceci dît les acteurs ne sont pas mauvais mais la réalisation est faiblarde et le scénario parfaitement périssable.