Les meilleurs films de Dario Argento selon candygirl_

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6xBD + Livre - Dario Argento / Les Films Du Camélia

BD / Wild Side Vidéo

Changement de style après la "trilogie animale" mais pas de genre. En s'inspirant principalement du peintre Giorgio De Chirico, Argento livre l'un des sommets du giallo où architecture, métaphysique, lignes de basse hallucinantes des Goblin et effets de divers psychotropes expérimentés à cette époque par le cinéaste se mixent pour le meilleur. La découverte de "la villa del bambino urlante" reste peut-être ce qu'Argento a réalisé de mieux durant sa longue carrière. L'énigme et l'enquête menées par David Hemmings restent également la plus belle réponse au superbe Blow-Up d'Antonioni. Bref, un grand moment de pur cinéma avant les délires occultes (sous les effets de l'héroïne) de Suspiria et d'Inferno.

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2xDVD + CD / Wild Side Vidéo

BR / Wild Side Vidéo

- Disque malheureusement illisible :'(

Il est amusant de constater combien la forme prend littéralement le pas sur le fond. Le scénar' tient sur une demi-feuille OCB alors que la mise en scène et l'esthétisme sont plus que flamboyants. Et la partition des Goblin reste toujours et encore la plus effrayante de toute l'Histoire du cinéma à mes yeux. Après Profondo Rosso et Suspiria, Argento ne fera jamais mieux.

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6xBR + Livre - Dario Argento / Les Films Du Camélia

Tout a déjà été dit sur cet incroyable 1er film d'Argento qui devait initialement être mis en scène par Terence Young. Sa modernité, malgré ses 54 ans d'âge, reste omniprésente et se voit encore plus exacerbée grâce à sa récente restauration 4K. La musique improvisée et expérimentale de Morricone ajoute une note d'élégance inégalée à ce thriller baroque ultra inspiré et particulièrement violent pour l'époque.

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2xBR + Livret / Extralucid Films

Second visionnage en moins d'un mois du Blu-ray récemment édité chez Extralucid... Suite à ses échecs artistiques sur le sol américain, Argento retourne en Italie pour adapter à sa sauce l'essai éponyme de la psychiatre Graziella Magherini. Avec un rôle spécialement écrit pour Bridget Fonda (rôle qu'elle dut refuser pour des raisons personnelles malgré son engouement pour le cinéma d'Argento), c'est Asia Argento qui releva le défi en incarnant cette jeune inspectrice de police qui devient la proie d'un psychopathe. Avec ses deux parties bien particularisées (un violent giallo lors de la première heure et un drame psychologique hitchcockien lors de la seconde), Argento livre assurément l'un de ses meilleurs films. Truffé de références à l'Art, mais aussi à Freud et Alice Au Pays Des Merveilles, le tout se voit exacerbé par un score hypnotique de Morricone. Que du (bon) plaisir.

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6xBR + Livre - Dario Argento / Les Films Du Camélia

Second métrage d'Argento, trop souvent sous-estimé, qui transcende une idée de scénario scientifiquement peu crédible (celle du double chromosome Y) en un thriller déroutant et rondement mené. Karl Malden y est fantastique et la B.O. de Morricone est une dinguerie.

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DVD - Édition Collector / FIP Films

Adaptation de la BD de Bruce Jones et Bernie Wringhtson parue dans le magazine Creepy en 1974, Jenifer est une véritable résurrection pour Dario Argento qui retrouve ici son lustre d'antan en filmant une histoire d'amour aussi malsaine que glauque. Dans le rôle-titre, Carrie Anne Fleming est aussi sexy qu'effrayante et réussit une performance corporelle parfaitement adéquate. Et bien que le script manque d'une certaine profondeur psychologique (pourquoi ce flic bien sous tout rapport ruine-t-il sa vie pour une créature capable de toutes les monstruosités ?), Argento nous emporte magistralement dans un univers glaçant fait de sexe et de cannibalisme. De tous les épisodes de la série Masters of Horror, Jenifer fut le seul à être censuré par la production. Une scène de fellation prodiguée par la jeune femme resta définitivement sur la touche, tandis que la séquence où Jenifer dévore le pénis d'un adolescent est visionnable dans les bonus du DVD.

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BR + DVD + Livret / ESC Éditions

BR / Wild Side Vidéo
Plutôt une suite de tableaux (souvent incohérente) où les personnages apparaissent les uns après les autres pour finalement disparaître. Énorme erreur de casting avec le fadasse Leigh McCloskey pour un projet qui a littéralement échappé des mains d'Argento en faveur des choix de la Fox. Restent la superbe scène de l'appartement inondé (intégralement réalisé par Mario Bava), les parfaites interprétations de Veronica Lazăr et de Sacha Pitoeff, ainsi que la fascinante et flippante apparition d'Ania Pieroni et son chat dans l'amphithéâtre. Le film, mal distribué, sera le premier four commercial d'Argento qui reviendra au giallo avec Ténèbres deux ans plus tard.

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BR / Wild Side Vidéo

Un 3ème long-métrage plus expérimental et paradoxalement truffé de références au cinéma avec lequel Argento a forgé sa cinéphilie (Frankenstein (Whale), Rio Lobo (Hawks), L'Homme-Léopard (Tourneur), etc.). Le nom de la rue où résident les principaux personnages est "Via Fritz Lang" et l'esprit de Mario Bava n'est jamais loin. Malgré tout, l’œuvre reste un sacré foutoir doté d'un humour pas toujours subtil et la révélation du "trauma" de l'assassin est à mourir de rire. De plus, la partition de Morricone fut composée à la va-vite, la B.O. devant être originellement signée par le groupe Deep Purple qui annula son contrat au début du tournage. Restent le grand, l'immense, l'inoubliable Jean-Pierre Marielle qui incarne un détective privé haut en couleur et la géniale mise en scène d'Argento. Ce qui n'est déjà pas si mal.

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7xDVD - Masters Of Horror : L'Intégrale De la Saison II / FIP Films

Avec cette seconde participation à la série Masters of Horror, Dario Argento opte pour un script signé par Matt Venne qui mixe fable écologique et fantastique gore. Avec ses ratons-laveurs maléfiques, le maestro transalpin aurait pu lamentablement se ridiculiser mais démontre qu'il a encore énormément de talent à revendre en tant que metteur en scène. Car tout fonctionne à merveille dans J'aurai Leur Peau ! et l'on croit aux personnages qui se massacrent ou se suicident dans des conditions particulièrement hardcore. Avec des vétérans tels que John Saxon (que Dario retrouve 24 ans après Ténèbres) et Meat Loaf devant la caméra, le moyen-métrage reste l'un des meilleurs épisodes de la seconde et dernière saison de la série. Pour celles et ceux qui apprécient la tripaille et le gore qui tache, bienvenue dans cette pertinente allégorie environnementale dominée par l’appât du gain, le sexe et la mort.

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6xBR + Livre - Dario Argento / Les Films Du Camélia

DVD / Wild Side Vidéo

Après l'avoir (re)découvert dans sa récente restauration 4K où son doublage en italien fait guise de seule VO, j'ai préféré visionner le vieux DVD Wild Side lors d'un marathon Argento pour (re)découvrir la piste anglaise avec les véritables voix de Jennifer Connelly et de Donald Pleasence. La différence reste de taille et Phenomena prend alors toute son ampleur en tant que pur conte horrifique où la célèbre Alice Liddell se métamorphose en Jennifer Corvino. Si le film est truffé de défauts, il n'en reste pas moins fascinant de par sa narration où la nature (ici le fœhn et les insectes) joue pour la première fois un rôle déterminant dans l'univers d'Argento. Ce dernier prend un malin plaisir à faire massacrer des adolescentes de 14 ans (dont sa propre fille Fiore) tout en érigeant la pureté de cet âge sur un piédestal par le biais de son héroïne, toute de blanc vêtue. C'est naïf (à l'image du harcèlement scolaire que subit la jeune Jennifer), parfois consternant (le sage entomologiste qui envoie Jennifer dans l'antre d'un tueur psychopathe afin de mettre un terme à l'enquête) et bien glauque (la fosse où les cadavres décomposés sont conservés), mais le tout reste culte grâce à la sincérité du cinéaste. Et puis il y a Jennifer Connelly, sublime d'innocence, et Donald Pleasence, admirable de talent. Rien que pour ces deux-là, Phenomena est un véritable plaisir (coupable ?) à voir et à revoir indéfiniment.

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6xBR + Livre - Dario Argento / Les Films Du Camélia

BR + 2xDVD - Opera / Le Chat Qui Fume

Opera reste avant tout un film de mise en scène. Cette dernière étant exacerbée par la superbe direction photo de Ronnie Taylor qui venait d'être récompensé d'un Oscar pour Ghandi, tout est ici un délice visuel. Dommage que le casting masculin soit si transparent, que Cristina Marsillach ne possède pas le charisme de Jessica Harper ou de Jennifer Connelly et que Dario s'évertue à souiller ses film de heavy metal ultra old school pour souligner la rage du meurtrier. Opera aurait pu (voire aurait dû) être un chef-d’œuvre en créant cet univers tordu où les sentiments amoureux se lient au sadomasochisme le plus pervers qui soit. Une œuvre fascinante malheureusement parsemée d'innombrables fautes de goût.

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BR 3D & 2D / Sony Pictures

Il y a réellement 2 façons extrêmement différentes pour visionner cette (énième) version de Dracula : à plat ou en 3D. La seconde proposition reste un enchantement de chaque instant puisque chaque plan est pensé, fignolé et sublimé par Argento. Rien que le tout premier avec la magnifique Miriam Giovanelli est un pur plaisir visuel, à 100 000 lieues des innombrables projets hollywoodiens dont la 3D n'apporte strictement rien, à part peut-être une intense migraine sur la longueur. Avec Argento et son directeur photo Luciano Tovoli, la profondeur de champ reste digne des plus beaux tableaux de Maîtres. La passion du cinéaste transalpin envers l'Art pictural se hisse ici sur un piédestal pour arborer la forme la plus créative qui soit. Et le résultat est sublime !
Le fond, lui, reste totalement à l'écart. Ce qui fait que visionner ce Dracula en 2D s'avère être un immense calvaire puisque le scénario et les dialogues semblent avoir été rédigés par des enfants tirés au sort lors d’une kermesse de fin d’année scolaire et que les SFX se sont vus confiés à l'entreprise la plus incompétente d’Italie.
10/10 pour le travail sur la 3D. 0/10 pour la piètre qualité du métrage.
Ce qui correspond à une bonne moyenne de 5/10 en ce qui me concerne.

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6xBR + Livre - Dario Argento / Les Films Du Camélia

BR / Wild Side Vidéo

À mes yeux, Ténèbres reste sûrement le film le plus surestimé d'Argento. Quand ce dernier opte pour l'improbabilité scénaristique lorsqu'il s'attaque au genre fantastique, la forme prend le pas sur le fond et reste plaisante. Mais il faut avouer que la même improbabilité dans un giallo est nettement moins pardonnable. En matière de psychologie, le scénario semble avoir été rédigé par des enfants de 8 ans et rien (mais absolument rien) ne tient la route dans cette "étude" des comportements déviants. Restent la métamorphose de Rome découpée en quartiers résidentiels et le très sanglant dernier quart d'heure qui fait son petit effet. L’œuvre est néanmoins à 100 000 lieues de la qualité des Frissons De L'Angoisse ou de L'Oiseau Au Plumage De Cristal.

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BR / ESC Éditions

Romero l'avait souligné dans une interview, il n'a eu droit qu'à 20% du budget alloué pour son segment L'Étrange Cas De Mr. Valdemar. De ce fait, son métrage ressemble forcément à un téléfilm des années 1990 porté par une somptueuse distribution (Adrienne Barbeau en tête). Le second et dernier segment, Le Chat Noir, réalisé par Argento, reste quant à lui assez anecdotique, si ce n'est l'immense performance d'Harvey Keitel dans le rôle d'un photographe alcoolique et aux goûts morbides nommé... Usher.
(Très) libre adaptation de 2 nouvelles d'Edgar Allan Poe, Deux Yeux Maléfiques devait originellement accueillir John Carpenter et Stephen King en plus du duo sus-cité. Rien ne se passa comme prévu mais l’œuvre reste néanmoins un petit classique plus ou moins raté, mais indéniablement sauvé par les effets de Tom Savini et son formidable casting, dont l'excellente Julie Benz qui venait tout juste d'avoir 17 ans.

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BR / MEP Vidéo

© 2008

L'un des films les plus mal-aimés d'Argento, alors qu'il reste un petit thriller tout à fait fréquentable. Rien de transcendant dans la réalisation, mais un casting efficace pour un scénario clinique, ambiguë et horriblement malsain. La faute de cette animosité de la part du public est peut-être son titre, Giallo, qui définit avant tout la particularité du tueur plutôt que le genre dont Argento fut l'un des maîtres par le passé. Car à l'instar de Lunettes Noires, ce film n'est en aucun cas un giallo. Une ambiguïté qui continue à desservir une œuvre qui n'en mérite pas tant et où Elsa Pataky reste une excellente victime.

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BR + Livret / Extralucid Films

© 2000

Sans sa fabuleuse scène d'ouverture dans un train, Le Sang Des Innocents ne vaudrait pas tripette. Suite à l'échec critique et public de son Fantôme De L'Opéra, Argento recycle ses idées d'antan pour tenter de renouer avec le succès. Il offre ainsi un nouveau giallo malheureusement (très) mou du genou où Max Von Sydow incarne un flic à la retraite, hanté par une enquête bâclée d'il y a 17 ans. Scénaristiquement, c'est du grand nawak, rien (mais absolument rien) ne tient la route et la mise en scène se voit quasi inexistante. Si l'intégralité du film avait eu l'acabit de son introduction, Argento aurait certainement réalisé un chef-d’œuvre absolu. En l'état, Le Sang Des Innocents n'est qu'un piètre TV film agrémenté de scènes gore faciles et totalement gratuites pour souligner la sauvagerie des meurtres. La scène dans la discothèque reste certainement la plus nulle des scènes de clubbing de toute l'Histoire du cinéma et le monologue final du meurtrier est d'un ennui abyssal. Bref, à découvrir seulement pour son excellent premier quart d'heure.

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2xBR + Livret / Extralucid Films

Dario Argento aborde le thème de l'anorexie mêlé à du spiritisme, de l'occultisme et un traumatisme post natal. Un sacré foutoir pour une enquête peu crédible qui stoppera net la carrière U.S envisagé par le cinéaste transalpin suite à l'échec critique et public du métrage. La version longue récemment proposée par les éditeurs Extralucid reste néanmoins supérieure à la version cinéma sans pour autant atténuer les nombreux défauts du film. Un thriller américain peut-être réalisé 10 ans trop tard, mais où l'inoubliable Piper Laurie sauve littéralement le projet de par son habituelle prestance. Quant à l'histoire d'amour entre la mineure incarnée par Asia Argento et l'adulte interprété par Christopher Rydell, elle ne serait plus acceptée par le public d'aujourd'hui.

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DVD / StudioCanal

Si Argento reprend possession de ses moyens en tant que metteur en scène avec ce TV film, l'hommage au maître du suspens est tellement criant qu'il en devient extrêmement agaçant. Le trait est incontestablement forcé avec la multitude d'affiches des films de Hitchcock qui se voient arborés à outrance dans l'appartement du jeune héros et dans le vidéoclub où se situe une partie de l'action. L'Inconnu Du Nord-Express, Fenêtre Sur Cour et Le Crime Était Presque Parfait sont scénaristiquement utilisés pour d'autres clins d’œil à Hitchcock au rythme d'un (pourtant joli) score de Pino Donaggio qui pompe allègrement l'univers de Bernard Herrmann. 20 ans plus tôt, le même compositeur fut nettement plus inspiré pour servir un autre hommage à Hitchcock (réussi celui-ci) pour le compte de Brian De Palma et son Body Double. Ici, tout est lourd, poussif et inutile malgré le savoir-faire des auteurs. Car en voulant montrer du doigt une forme de voyeurisme, Argento et Ferrini se perdent dans leur propre arc narratif et livrent une œuvrette désuète. Et puis le plus bel hommage à Hitchcock qui soit, Argento l'a déjà fait avec la seconde partie du Syndrome De Stendhal, sans pour autant citer Marnie. La classe ultime, en quelque sorte.

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BR + Livret / Extralucid Films

© 2003

Pas grand chose à dire sur cette œuvre bien peu fascinante. Argento tente tant bien que mal de moderniser son univers et livre un thriller qui a déjà 10 ans de retard. La même pour Simonetti qui n'a certainement jamais mis les pieds dans une rave mais tente néanmoins de se la jouer 100% électronique. Reste le fait, pour les incultes du poker comme moi, que cela semble être un jeu passionnant. À part ça, Argento nous refait le coup de l'indice sonore de L'Oiseau Au Plumage De Cristal (le génie de la mise en scène en moins) et s'auto-parodie avec un sens de l'humour particulièrement ridicule. Après un passage par la télévision, il ne reviendra au cinéma que quelques années plus tard avec la très attendue finalité de sa célèbre trilogie ésotérique.

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BR + Livret / Extralucid Films

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DVD / TF1 Studio

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BR / Seven7 Éditions

"Nul ! Sale ! 2 !"
(Les Bronzés - 1978)