Les meilleurs films de Robert Guédiguian selon Samfarg

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Un conte social prodigieux qui prend le parti de l'optimisme. Un film lumineux et d'une très grande profondeur derrière les apparences. Ode à la solidarité et à l'universalisme. Déclaration d'amour à la classe ouvrière. Le chef d'œuvre de Guédiguian à mes yeux.

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Le film le plus hiératique de Guédiguian. Les illusions perdues d'une jeunesse face à la triste réalité du monde. Puissant et envoûtant.

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Un film coup de poing âpre, violent, pessimiste. Mais surtout incroyablement visionnaire. Quelques mois avant le 11 septembre et le 21 avril ...

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Un film juste, profond et touchant sur le polyamour. Une trio amoureux formidablement incarné qui n'a rien à envier à Jules et Jim.

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Film de jeunesse, puissant et d'une grande fraîcheur. Les prémisses d'une filmographie dédiée à la classe ouvrière sacrifiée en milieu marseillais.

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Téléfilm anticonformiste et punk. Immoralement jubilatoire.

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Etrangeté dans la filmographie de Guédiguian. Les derniers instants de Mitterrand ou le chant du cygne des espoirs de transformation du monde incarné par la gauche ... Michel Bouquet époustouflant.

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De la solidarité au sacrifice. Un film poignant sur le sens du collectif chez les damnés de la terre.

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Une réponse pleine d'humour aux critiques bien-pensantes qui étrillent le cinéma social de Guédiguian. Formidable pied de nez.

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Trois générations d'immigrés italiens dans l'Estaque. Beau et touchant.

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Road movie sous forme de retour aux sources pour Guédiguian. Le meilleur de sa trilogie arménienne.

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Un film qui pose la question vertigineuse de la fidélité aux engagements malgré l'embourgeoisement. Une réussite malgré un côté volontairement théâtral.

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Un beau Guédiguian sur la nostalgie des amours passées. Délicat et juste.

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"Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche". Prenant.

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Très grand film mineur en mode féministe. Sans prétentions, c'est ce qui fait tout le charme de ce film.

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Dernier opus de la trilogie arménienne de Guédiguian. Réflexions sur la lutte armée comme réponse au génocide arménien.

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Guédiguian prend le parti de filmer les winners du néo-libéralisme. Un film puissamment désabusé sur la marche du monde. Quelques maladresses néanmoins et des jeunes acteurs qui peinent à prendre la relève.

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Une hommage poignant à l'héroïsme des résistants de la MOI menés par l'Arménien Manouchian. Un peu démonstratif, quelques libertés historiques mais édifiant.

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Guédiguian veut trop en dire. Dommage car le propos est très juste et certaines scènes ne manquent pas de grâce.

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Guédiguian fait une incursion audacieuse dans le polar. Pas mal mais trop d'imperfections.

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Une adaptation d'un poème de Victor Hugo. Peut-on pardonner à celui qui vous a trahi ? Certains considèrent que c'est son meilleur film. Pour ma part je le trouve trop théâtral et caricatural par moments. Dommage.

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Un film sur l'amour, le racisme et l'injustice. Beau mais dénué de réelle puissance dramatique. Petite déception

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Une belle ambition : filmer les premiers instants de l'indépendance malienne et les espoirs déçus d'une utopie socialiste en Afrique. Un beau projet desservi des acteurs peu convaincants et une mise en scène trop bancale.