Les meilleurs films Dragon Ball selon Buddy_Noone

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Une véritable machine de destruction massive, le meilleur opus dérivé de la chronologie officielle.

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Autre grande réussite et un antagoniste final d'anthologie, curieusement oublié.

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Pour son premier pugilat désespéré et les 99 000 guerriers qui succèdent au premier antagoniste.

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Pour certains gags irrésistibles, son apport à la mythologie et sa négation de GT.

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Pour les fusions râtées et ce pugilat interminable face à Janemba.

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Pour ce prologue sur la planète Vegeta et sa réalisation virtuose.

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Pour son sosie alien de Link.

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Pour ses accents tragiques et "shakespeariens".

Annotation :

Pour cette bonne vieille pourriture de Bojack.

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Je vous avoue que je me demandais ce que les auteurs allaient prétexter pour faire du retour du faiblard Freezer un événement digne de mériter tout un métrage cinéma. Régulièrement malmené et ridiculisé tout au long de la série après son retour de Namec (le gonze se fait tailler en pièces par Trunks, jeter au bagne en enfer par Paikuhan et exploser d'une seule droite par Gohan dans Fusions...), cet adversaire pouvait difficilement rivaliser avec la puissance dévastatrice de ses successeurs, quand bien même eut-il bénéficié d'une nouvelle vie. Au final, le prétexte a beau être totalement bidon, ce retour de Freezer ne se regarde pas moins avec plaisir, ne serait-ce que pour la nostalgie facile qu'il convoque et quelques idées amusantes (l'enfer terrestre vécu par Freezer ne manque pas de faire sourire) et plutôt bien vues (Freezer tuant d'un seul coup Gohan comme pour venger l'affront du film Fusions). Qui plus est, les furieuses retrouvailles entre Goku et son illustre adversaire occuperont tout de même la dernière demi-heure du métrage. Si le scénario reste prévisible de bout en bout et que l'ensemble n'apporte rien de bien neuf à la mythologie élaborée par Toriyama, ce dernier opus a au moins le mérite de creuser un peu plus l'antagonisme Goku-Vegeta pour révéler leur complémentarité et les mettre enfin sur un même pied d'égalité (s'ayez le "petit" prince de la planète Vegeta a rattrapé en force son rival de toujours).
Tout cela sous l'oeil blasé, quoique légèrement amusé de ce goinfre de Beerus.

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Pour ce futur post-apo et son emprunt à Terminator.

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Pour son vilain Namek qui fait passer Piccolo pour un enfant de choeur.

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Pour Thalès, l'autre vilain frangin.

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Fall of men, ou comment rendre presque crédible une adaptation live de l'univers de Toriyama. Un rien influencé par l'approche dramatico-réaliste d'un Batman nolanien, Yohan Faure convoque ici tout un pan du manga original (l'apocalypse selon Cell) et une multitude de personnages cultes. Si ces incarnations live et le jeu outré des comédiens prêtent parfois à sourire, il faut bien saluer le travail du réalisateur et de son équipe lesquels rendent parfaitement justice au matériau de base tout en nous faisant saliver quant à la perspective d'une potentielle adaptation cinéma, fidèle et réaliste, loin de l'outrageux Evolution.