Les meilleurs FPS selon elSkatos

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J'avais vu le test dans Micro Kids, une des rares émissions de TV de l'époque parlant de jeux vidéo. Deux images me restent à l'esprit: l'anim du shotgun, et la tronçonneuse!!!
Fan de Wolfenstein, je ne pouvais qu'adorer...
Doom a vraiment vieilli, mais il tellement fondateur que je ne peux pas ne pas le nommer #1.
Je l'ai acheté sur PC, 3DO, Jaguar et XBLA à leur sortie respective. Quand même.

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En version PC, ce que ne laisse pas suggérer l'immonde cover art de la non moins immonde version PS2 ci-contre.
Pour le reste, tout est dit dans ma critique: http://sens.sc/10gA9SV

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J'y ai tellement joué.
La première fois, tu hallucines: des vrais décors (et non des successions de caves), un jeu déjanté, un héros über-beauf champion de la one-liner (enfin, celle des autres) qui agite des billets aux strippers (You wanna dance? Shake it Baby!!!), reprend de la vie en pissant (trop bon!!! ils y ont pensé!!), le passage secret en tirant une roquette dans l'écran du cinéma, le holoduke et les pipe bombs en LAN ou sur NetStadium... Un GRAND Fps, à la mémoire salie depuis...

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Half Life, jeu hyper attendu.... mais pas par moi à l'époque, j'étais plutôt SiN (!). Mais une fois enfourné le CD dans la machine, j'ai découvert UNE NARRATION dans un FPS. L'invention du script comme outil narratif, une bonne heure d'exposition, et les marines, l'arrivée des MARINES!!!!
Et ça c'est que le solo... HL fut mon 1er jeu vraiment multi (connexion Cybercable oblige, fin 98!), et surtout la pléthore de mods: Team Fortress Classic, Action Half Life, Counter Strike, bien sûr (les premières versions étaient abominables)... Enorme souvenir.

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Le Un, en (presque) mieux. Beaucoup plus joli, beaucoup plus subtil en termes de gameplay, mais qui manque d'un brin de la folie WTF de NOLF premier du nom.
Attention, ça reste énorme...

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Pas grand chose à dire sur celui-là qui n'a pas déjà été dit. Seuls ces souvenirs incroyables:
- emerger au milieu d'un gigantesque cercle de feu, l'avion me transportant sombrant non loin...
- découvrir un phare dans les profondeurs duquel je m'enfonce, la ritournelle de "Somewhere Beyond the Sea' jouant, au loin...
- "I introduce you....Rapture"et le hublot de mon bathyscaphe révélant soudain cette ville sous-marine incroyable, appuyée par la description enjouée de son utopie par son géniteur...

...et plein d'autres moments comme cela. Quel jeu, my God.

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Un FPS qui me fait acheter une console, WTF??? Ma première console Nintendo, de surcroît, moi, le fanboy Sega-Atari!
Mais je n'ai aucun regret, bien au contraire. Fichtre, quel jeu. Et combien de parties en multi splitté avec les potes!

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Pour le jeu en arène, ce côté sport/ gladiateurs du futur jamais vu jusqu'alors (même si sa sortie concomitante avec Q3 rend sa paternité discutable et discutée).
Mais surtout, pour moi, l'institutionnalisation du Alt-Fire sur tous les guns. Très très grand jeu.

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Le pendant réaliste de GoldenEye. De l'infiltration au millimètre, d'une difficulté incroyable, du snipe à 3 kms (c'était la promesse et l'accroche marketing du jeu à sa sortie).
Awesomeness.

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Je l'ai attendu celui-là. Et même s'il ne revient pas spontanément dans la liste de mes FPS préférés de tous les temps, faut bien reconnaître qu'il mérite le Top 10. J'ai moins accroché au 2 qu'au 1, et pourtant 1/ je l'ai refait 3 fois, et 2/ j'ai des souvenirs très forts de moments perdu dans les égouts de Cité 17, avec mon fusil-mitrailleur à la main et bercé par les voix "vocodées" des autorités à ma recherche...
Et je ne parle pas de Chien, du Gravity Gun dans Ravenholm (ahhh les lames de scie-sauteuse), d'Alyx...

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Il est de bon ton de cracher sur Call of Duty de nos jours. N'empêche: le 4 fut pour moi une vraie claque. J'avais eu la chance de faire la beta multi peu de temps avant sa sortie et avais découvert ce système de progression et de perks si familier maintenant mais si original à l'époque. Et puis le solo...la mission du cargo en intro, et celle de Prypiat...
Magistral.

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Free Radical Design est un grand développeur, que je regrette amèrement. Un gameplay magique, comme seuls eux savent le faire. Des tonnes de guns. Des époques différentes. Des réminiscences permanentes de GoldenEye (normal vu leur historique).
Un grand grand jeu. (mais ne jouez surtout pas à Haze, hein...Faites vous plutôt un Second Sight)

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Parce que ça a longtemps été un fantasme, de ces jeux que je ne pouyvais jouer qu'au bureau, méchante config oblige. N'empêche, les premières heures, lorsqu'on observe, tapi dans les fourrés, aux jumelles les positions ennemies en échafaudant des techniques d'assaut, bluffé par le visuel, agréablement surpris par l'IA, on se dit qu'on a un TRES grand jeu.
Malheureusement terni par le délire monstres-cavernes dans les heures qui suivront.
Mais le cerveau est bien fait: les premières heures resteront.

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J'ai une affection particulière pour cette génération post-Duke, basés sur le même moteur BUILD (et donc avec la même gueule), et tous un peu déjantés, à l'instar de leur prédécesseur...Shadow Warrior, ninja dukesque aux one liners imparables (burn baby burn!), Redneck Rampage et ses bouseux au shotgun se régénérant au Moonshine, ou Blood à l'ambiance Train Fantôme grand guignolesque. Shadow était le plus abouti de ceux-là.

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Le FPS pré-Modern Warfare. La fin de gen PS2/ Xbox; l'équipe des BurnOut se fait plaisir et change d'air avec un FPS. Bide commercial, critiques mitigées, mais il y avait pourtant tous les ingrédients du futur raz de marée CallOf-esque: du script, du couloir, du spectaculaire (un sound design énorme, avec des flingues assourdissants), du très court (5h et même pas de multi), un scénar à la Clancy bien dispensable.
Mais j'ai kiffé celui-là, pour son amour immodéré des guns qu'il sait si bien retranscrire (enfin, j'imagine...)