Les meilleurs jeux sur Nintendo Switch selon fan_2_mart1

Annotation :

Je vais pas me tuer à rajouter à l'évidence, mais clairement un pilier du jeu vidéo moderne. Zelda se réinvente sans dénature... BotW serait un peu à Ocarina of Tim ce que Xenoblade est à FFX : on perd un peu en histoire ce qu'on gagne en souffle et en liberté... Ou comment réussir à rendre un monde aussi immense rempli à ras-bords de défis en tous sens... L'équilibre entre combat / donjons à énigme bien dosés et explorations, dialogues tient de l'alchimie merveilleuse.

Histoire finie
Finitude estimée 80%

Annotation :

Ce (action-)RPG indé à énigmes, pouvant faire songer à un Zelda/Alundra ayant pour cadre un dessin animé Ghibli est une très belle surprise. L'histoire, déjà, demeure assez touchante, avec sa part de mystère, d'humour burlesque, et son séquençage qui aligne les environnements sans tomber dans les clichés mille-fois rabattus (ici on a le droit à une ville minière souterraine, un village traditionnel au fond d'une forêt, une ville-barrage très chinoise dans l'esprit - le jeu est chinois btw-, un train-studiio de films...). Les énigmes sont plutôt bien pensées, jamais punitives, mais demandant parfois un peu de jugeote. De même, les phases d'action sont sympathique sans être prises de tête. Un jeu plutôt facile, mais pas sans challenge. Certes, on pourra reprocher des dialogues ou quelques séquences un peu longuette, et un final qui laisse un peu sur sa faim, les mystères de l'intrigue gardant leur part d'ombre, mais un vrai petit plaisir de périple.

Histoire finie
Finitude estimée 95%

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J'ai lu ou entendu quelque part qu'il s'agissait du jeu avec le plus de lignes de textes en son corpus. Même pas peur. Et il est vrai que voir poussé à ce point là l'interaction dans les dialogues a quelques choses du tour de force, d'autant plus impressionnant que conceptualisé - je crois - par un seul estonien. Ici, les deux jauges (santés et moral) se vident et se remplissent au gré des discussions, de même que l'expérience qui sert à acquérir de compétences variées ( 20 nuances d'intelligence dira t-on) s'obtient selon la même méthode. Artefact rôliste à l'ancienne, certains passages exigent un lancer de dé et pimentent par ailleurs ce qui ressemble quand même pas mal, avouons à un roman interactif. On tient donc là l'évidente limite de Disco Elyisum, qui fait certes un peu fi des notions de gameplay ( aucun réflexe à avoir ) et ne s'embarrasse même pas vraiment d'énigmes ou autres interactions qui solliciterait de stresser le joueur...

Tout au moins croit-on longtemps, le temps d se faire à cet univers contemporain alternatif chelou, à la fois post-apo et un peu passésite (plongé dans un remodelage étrange des révolutions communistes qui auraient abouti à une guerre civile massive et chaotique). Car, découvrant d'un même bloc l'univers riche façonné à coup de digressions imaginatives et le passif du héros (alcoolique et... amnésique, gadget bien pratique mais qui prend ici un sens psychanalytique qui est au fond le récit souterrain servi ici). Car au fur et à mesure de rencontres rocambolesques, de situations et personnages haut en couleur (une libraire superstitieuse, des gamins junkies laissés à l'abandon, des ados qui rêvent d'ouvrir une discothèque dans une Eglise, des pontes du syndicat, où les deux sens du termes se mélangent), Disco Elysium parvient à captiver. Et une fois la fameuse résolution d'enquête advenue, on reste même sur sa faim, celle de devoir se contenter d'imaginer un Jamrock qu'on aurait aimé arpenter aussi. Pensées politiques riches, humour cynique permanent, univers ouvert ou cohabitent rationalité et intangible, science et intuition, le contenu narratif et philosophique qui sourd l'oeuvre donne même envie de s'y replonger tantôt pour jouer autre chose qu'un cabochard communiste grande gueule, ne serait-ce pour voir de quoi il retourne (et si il est possible de remodeler quelques scènes d'un récit qui embarque émotivement dans des grands chaloupés dignes de Game of Thrones, épisodes 9).


Histoire Finie
Finitude estimée 70% ?

Annotation :

Un Zelda-like, en mode Link's Awakening (apparemment) ou Link to the Past. Le design tout mignon cache une difficulté quand même relativement ardue : se repéréer dans ce monde fait de hiéroglyphes et de mystères n'est déjà pas évident, mais les combats contre les boss et même certains ennemis demandent à s'y reprendre bien des fois (surtout quand on a un peu deux mains droite - je suis gaucher - comme moi). J'ai néanmoins pris du plaisir à explorer, tourner un peu en rond puis trouver un passage secret, rager en recommençant d'épiques batailles homériques kawaï, et à tenter de déchiffrer le manuel de jeu dont on retrouve les pages disséminées au gré de nos pérégrinations.

Histoire (principale) finie
Finitude estimée 80%

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Dans le genre metroidvania, sans doute pas le plus ardu, mais j'en ai quand même chié des escargots à paillettes sur un certain nombre de boss, quand certains passages ne m'ont pas fait ragequit plus que de raison. Histoire minimale qui pose son univers faussement enfantin, mélange d'entomologie, de rites tribaux et de SF maquillée, on est surtout là pour le gameplay, effectivement particulièrement fluide. L'acquisition progressive des pouvoirs s'avère plutôt jouissive, même si j'avoue que, peut-être aussi du fait de séquences de jeux très espacées, j'en suis surtout restée à la fondamentale peu ou prou. La progression itérative dans ce labyrinthe qui s'effeuille peu à peu à son charme, mais les souvenirs de recherches longuettes à plusieurs reprises d'un chemin possible à défricher ont eu de quoi me décourager par moment. Bref, bon moment assurément, du gameplay et gamedesign bien chiadé, après c'est pas forcément mon type de jeu de prédilection (mes veines palpitantes et mes cordes vocales gratouillées, ma manette tout juste épargnée, peuvent en témoigner).


Finitude estimée 70%

Annotation :

J'avais étrangement rien écrit sur ce jeu sur lequel j'ai passé des dizaines d'heures apaisantes et agréables. Deux années et demi, le temps de finir l'histoire, pas tout à fait l'ensemble de l'iceberg (je dois avoir fait 80% du jeu annexe inclus). Déjà, l'ambiance rétro faite main colle avec le discours humain, empathique, plutôt écolo et anticapitaliste. D'ailleurs, quand bien même la mécanique de jeu repose sur quelques difficilement évitables principes d'accumulation, elle fait la part belle à une répétition quotidienne de petits gestes, récurrents mais jamais tout à fait les même qui prend un sens existentiel, celui d'un rapport aux temps, aux saisons. Avec sa partie agricole sympa mais besogneuse, l'animalerie à laquelle on s'attache, en leur donnant des noms idiot ou encore les interactions avec les villageois (drague, secrets de famille), Stardew Valley propose déjà un voyage agréable, mais la scansion d’événements ponctuels rehausse l'intérêt et évite la monotonie, sans dénaturer le paisible journalier. L'exploration des mini, donjon RPG dans le jeu, est un peu sommaire et parfois un poil rébarbative, mais apporte, dira t-on, un surplus de variété pourquoi pas.

Histoire (principale) finie
Finitude estimée 80%

Annotation :

Add-on qui ne déstabilisera pas autant qu'Undertale (l'anagramme notera-t-on). En gros, un RPG rétro très inspiré par Mother (encore plus évidemment ici) et ayant pour principale idée, en dehors de son humour très méta et plutôt décalé, de proposer de progresser dans l'aventure sans avoir à tuer le moindre ennemi, accomplissant d'autres actions pour les convaincre. Drôlatique trouvaille qui, en se doublant de mini-jeu d'esquive et d'énigmes un peu décalées, balise un parcours plutôt bien vu. Fini en quelques heures, ce premier chapitre laisse sur sa faim (même si un boss caché peut considérablement rallonger la durée de vie).

Histoire finie
Finitude estimée 80% (manque le boss caché qui m'a mis HS 8 fois genre)

Annotation :

Le décorum du jeu est absolument hideux; mais on peut se prendre au jeu avec dérision. Les mécaniques de ce tactical-RPG restent assez fun, même avec leur part de random (les effets de feu ou de poussée, mais aussi les sauts dans tous les sens). Se finit relativement vite, mais évite globalement la lassitude. Assez facile, mais quelques missions m'ont fait recommencer. En moyenne, j'ai un peu honte mais je pense avoir passé un meilleur moment qu'en jouant au dernier Fire Emblem (plus inégal et mal branlé, niveau difficulté).

Histoire finie
Finitude estimée 95%

Annotation :

Mes deux types de jeux préférés étant les (J-)RPG et les jeux de stratégie (au tour par tour), forcément, le Tactical a voué à être mon chouchou. J'attendais ce Three Houses comme le messie et, j'ai finalement apprécié tout en restant sur ma fin. Malgré une très imposante césure à mi-chemin, l'histoire m'a semble longuette pour pas grand chose, et bien en deça de mes attentes. Par ailleurs l'abandon du sacro-saint triangle me semble rendre les combats moins tactiques. Enfin, les phases de sociabilisation au Fort finissent par être assez rébarbatives, même pour un joueur rechignant assez peu à la fouille exhaustive et à la parlotte... Reste le sentiment rageant de perdre ses troupes petit à petit (je m'interdis globalement de refaire les missions pour avoir cette sensation) a su insuffler à cette très longue aventure un souffle épique compensant la routine des missions d'entraînement et des errances à la base, mais clairement pas le chef d’œuvre attendu à mon sens...

Histoire finie
Finitude estimée 80% (un seul clan joué)

Annotation :

Un mix de jeu d'enquête et d'éternel recommencement (on revit la même journée) assez bien ficelée : l'ambiance est chouette, les énigmes ont le bon niveau (on ne s'enfonce pas tout à fait comme dans du beurre mou, mais on ne patine pas non plus excessivement dans la semoule). En revanche, j'ai quand même l'impression d'avoir perdu quelques heures sur la quête annexes des cartes à collectionner.

Histoire finie
Finitude estimée 100% (yc quête des cartes)

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Le principal souci du jeu repose à mon avis moins sur l'aspect relativement limité du gameplay, mais sur l'excès de pathos charrié par la visite architecturale d'un arbre familial fait des décès tous plus sordides les uns que les autres - poncif qu'on accepte quand même, déjà parce que l'aspect too much, non réaliste, dénote une volonté de toucher au métaphorique. Et c'est justement dans l'immersion via le gameplay, chaque décès étant vécu par un mini-jeu utilisant une mécanique propre, prompt à combiner pour le meilleur implication du joueur et métaphore vidéoludique trouvant son propre language (laquelle culmine sur l'apothéose culte de Lewis, décapitant du saumon a tour de bras tandis que son esprit vise ailleurs).

Histoire finie
Finitude estimée 95%

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Petite enquête fort sympathique : le graphisme sans prétention a ce qu'il faut de panache, et l'humour pince sans-rire m'a fait décocher de petits gloussements réguliers. On est finalement assez guidé, mais entre interrogatoires minutieux et énigmes à la Layton, le tout se parcourt avec plaisir.

Histoire finie
Finitude estimée 95%

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Pas encore fini, mais je dois être à un bon trois quarts. Pour quelqu'un qui jure particulièrement par les J-RPGS (enfin surtout FF, mais pas le 6 plus que ça, celui qui est le plus explicitement visé ici), je suis quand même très mitigé. Les 8 scénarii sont plus ou moins passables, mais leur étanchéité absolue finit par ôter tout souffle à des thématiques pourtant pas totalement creuses. Scénario assez moyen, donc, mais un gameplay qui a quelques belles idées pour maintenir l'intérêt à minima (par exemple les actions exploratoires en ville, mais notamment la gestion des PA qui amplifient les actions) et une difficulté dosée optimale (même un poil rêche : je passe pas mal de temps à refaire les boss, aux sprites vraiment sympas, assez épiques, 2 ou 3 fois avant de les battre). Néanmoins, terriblement répétitif et interchangeables, niveaux arcs.

Histoire finie
Finitude estimée 85% (pas trop de donjons annexes faits)

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Minit, et durée de vie à l'avenant, le tout bouclé en quelques heures. L'aspect crayonné en trois pixel et l'univers comme griffonné sur un coin de table ont leur charme. Une fois encore, le mécanisme de l'éternel recommencement s'avère assez addictif chez moi (ici, c'est carrément des progressions de 60secondes, pas le temps de lambiner !)

Histoire finie
Finitude estimée 95%

Annotation :

Oeuvre qui m'en a fait baver, moi qui suis un peu une tanche en termes de réflexes vidéoludiques... Néanmoins, le concept de Diablo die & retry (hard) m'a fait certes rager moult fois, et pas qu'un peu, mais malgré les mécanismes très random, le tout s'est quand même accompagné d'un net sens de progression (un peu comme Krilin et Goku devenant fort en portant du lait, sans s'en rendre compte). Puis c'était l'occasion d'écouler mes stocks d'album de black/death à écouter.

Histoire finie
Finitude estimée 95%

Annotation :

Dans le genre Metroidvania, c'est quand même pas mal du bourrinage bas-du-front avec une histoire impériale vitef. Après, je suis mort ici ou là, et le gameplay était sympatoche sur les quelques heures que tout cela aura duré (bon souvenir du petit donjon où il fallait cartographier via puzzle).

Histoire Finie
Finitude 95%

Annotation :

Il me restait vraiment pas grand chose. Bon, bah un génie indé parmi les premiers de sa génération, une histoire minimale à faire passer Ico pour Final Fantasy et un game design épuré au possible. Restent des énigmes plutôt sympa, rarement très bloquantes mais rarement trop simple non plus. Le gameplay en lui-même n'est pas ultra-palpitant, donc voilà.

Histoire Finie
Finitude estimée 95% ?

Annotation :

Moyennement imaginatif, woke au ras-des-pâquerettes (bon, j'exagère, la notion de respect de la vie privée du lendemain pourquoi pas, mais on est plus dans l'ère #MeToo consumériste que dans un romantisme vivifiant...) et baigné dans une esthétique indé cheap (genre Garden State). Néanmoins, le trait est agréable et je me suis repris à faire pas mal de fois cette brève matinée, sans réussir à débloquer l'ensemble des fins, loin s'en faut...

Histoire finie
Finitude estimée 75% ? (certaines fins manquent)

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Finitude estimée 75% ?

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Finitude estimée 50% (80% facile, 30% normal)

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Finitude estimée 40% ?

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Finitude estimée 50% ?

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Finitude estimée 60% ?

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Finitude estimée 33%

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Finitude estimée 20%

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Finitude estimée 30% ?

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Finitude estimée 25% ?

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Finitude estimée 33%

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Finitude estimée 20%

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Finitude estimée 30%