Les meilleurs jeux vidéo de 1997 selon Frakkazak

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Au pays des chewing gums au steak, des coiffeurs pirates, des volcans allergiques au lactose et des duels d'insulte, Guybrush Threepwood est le roi... des crétins. Animation dessin-animé, voix française d'Aladdin et énigme barrées. Le meilleur point'n'click toutes catégories confondues.

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Quand Abe veut s'échapper des abattoirs de Molluck le Gluckon, il le fait avec classe et cocasserie. Puzzle/Plateformer ardu mais génial de par son univers, sa DA et son gameplay millimétré et fendard:
"Salut !
_Salut !
*Prout*
_"Désolé"

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Fait sur PS4, enfin j'ai rétabli la lumière sur une partie de mes lacunes vidéoludiques. Jeu splendide, tant en termes de gameplay et d'innovation dans le contexte de son époque, que dans sa DA et ses musiques. Top

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Moins bon que le premier volet, c'est tout de même un plaisir de retrouver George et Nico dans un nouveau voyage aux accents tropicaux.

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Qu'il est bon d'être méchant... Et de gérer ses sbires d'une poigne de fer. Calmer les rixes entre vos troupes à coup de tatanne ou par fouettage SM est un plaisir. Peter Molyneux nous livre encore une fois un concept novateur pour une sorte de god game.

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Sans doute l'épisode que j'ai le plus poncé de la licence, notamment grâce à un éditeur d'armes/maps super poussé. Des heures de guerres fratricide.

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Le moins bon des Crash reste tout de même un très bon jeu.

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Entre conversions par prêtre, murailles interminables et éléphants dans des bateaux, il y avait toujours moyen de faire apparaître photonmans et bigdaddys.

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27 ans que j'attends de pouvoir mettre la main sur Tomba, dont j'avais retourné la démo dans tous les sens à l'époque. Il aura finalement fallu une sortie remasterisée (qui tient plutôt de l'émulation pour le coup) pour qu'enfin j'en apprenne plus sur la malédiction des cochons. Et si l'aventure a pris un petit coup de vieux, le jeu n'en reste pas moins assez unique dans sa proposition, un mélange heureux entre un Zelda et un metroidvania qui demande de fouiller tous les recoins de la carte pour débusquer objets, clés et boss. Il m'aura fallu quelques recherches sur des guides pour avancer par moment, philosophie de gameplay de l'époque oblige, mais globalement c'est aussi frais et amusant que ce que j'en espérais.

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Fait dans sa version Remastered 2024

Si le premier volet des aventures de Lara Croft fait partie intégrante de mon enfance, je ne peux pas en dire autant de ses suites que je découvre sur le tard. Pas de nostalgie ici donc, juste l'envie d'en découdre avec la plate-forme géométrique et d'explorer des tombes à travers le monde.

Mais dès le premier niveau, on se rend compte du changement d'orientation opéré par la licence : on va miser sur l'action. Fusillades à gogo face à des humains, pièges de partout et véhicules en sus. L'introduction semble s'adresser uniquement à celles et ceux qui auraient déjà vu le Pérou avec Lara. A mon grand dam. Car ce qui me plaisait dans le premier est ici mis au second plan. La varappe est supplantée par des gunfights peu engageants et un rythme plus rapide et donc moins propice à laisser place aux mystères. A ce titre, il suffit de voir que la liste des trophées du premier épisode propose une récompense pour finir le jeu sans utiliser de trousse de soin. C'est ici impossible.

Il reste tout de même des gros moments marquants, comme tout cet acte sous-marin, et assez de l'ADN cubique du premier volet pour que l'on se prenne tout de même au jeu. En espérant que le troisième rectifie le tir.

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Deuxième volet du point'n'click ludo éducatif Panthère rose. Super intéressante, musiques toujours aussi prenante.

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Une bon jeu à licence qui ne se fout pas de son public. Très propre. Herculade !

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Un beat'em all fendard qui se faisait très bien en coop. Un peu court dans mes souvenirs.

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Moto de piste ou moto cross pour un jeu qui était sympa, sans plus.

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C'était cool... sur la première heure. Après ça impossible d'avancer pour passer ce fichu pont, même en appliquant à la lettre les instructions trouvées dans l'ETAJV