Les plus mauvais films français selon toma Uberwenig

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Tout Girault (je crois), et en particulier toute la série 'Gendarme' mériterait de se trouver sur cette liste.

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Evidemment, Taxi, parce que le pire du cinéma français n'est pas forcément dans son coté "franchouillard", mais plutôt du coté Besson, resuce mal fichue des grosses prods américaines, sans âme, sans scénario, sans savoir faire, bref, une production Besson, quoi!

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Maitre du mauvais goût franchouillard, on pourrait croire à un porno amputé de ses scènes X tellement on vole en rase-motte...
Une sorte de synthèse de tout ce que le cinéma populaire français des années 80 peut nous offrir de pire. Ou de meilleur. Il y a une forme de candeur derrière tout ça qui peut difficilement ne pas toucher.
Pécas est un peu à part dans le marasme de vulgarité dans lequel il évolue. (et il a quelques perles à son actif)

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Malgré mon amour pour le cinéma de Jean Rollin, ma sympathie pour les frères Lesoeur et leur compagnie Eurociné, là, c'est au delà de mes forces!

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Dès le départ, c'est peut-être la franchise comique la plus surfaite du cinéma français. A peine sympathique, le premier volet rencontre le succès qu'on connait.
Mais là, c'est carrément le pompon. Ayant eu la malchance de croiser la route de cet étron, mon devoir de cinéphile m'oblige à dénoncer la série dans son entier, et cet épisode en particulier.

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insulte au bon goût. Si l'envie vous prenait de voir ce film, préférez lui l'excellent Dog eat Dog.

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Ma haine de Luc Besson est fondée en partie liée à la connardise sans borne du personnage, mais aussi à son manque de talent.
Ici, on prend les scène chiante de Nikita, on les étire au delà du raisonnable, et on noie trois scènes d'action potable dans un océan de mièvrerie et de malhonnêteté.
Le personnage de Léon repose en entier sur la gueule de Reno (et ça ne suffit pas), l'ambiguité de sa relation avec la jailbait Portman est tout simplement contournée, évitée pleutrement. bref, un échec total
Reste la musique de Björk, les quelques rares scènes ou Gary Oldman n'en fait pas trop en terme de cabotinage, et un Jean Reno qui ne s'est pas encore totalement vautré dans la fange ni dans la masturbation "à la Delon".

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Un Rohmer pris au hasard pour condamner son cinéma complaisant de connard bourgeois intello dans son ensemble (à part Sous le Signe du Lion).

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On ne tire pas sur l'ambulance, normalement, mais bon, une petite gâterie, un petit plaisir coupable, ça ne se refuse pas.
Et assurément, ajouter un épisode de la série Camping à cette liste, c'est juste exutoire.