Les pochettes d'albums les plus moches selon La_Bete_du_Blizzard

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Black Metal - Norvège (2000)

Et pourtant... Malgré sa géographie mal placée entre le monument "At The Heart Of Winter" et le quasi-parfait "Sons Of the Northern Darkness", un excellent album de black/heavy metal. Certains riffs sont dingues !

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Thrash Indus – Québec (1995)

Changement radical de style après le superbe « The Outer Limits ». Après le départ de Snake pour divergences musicales, le groupe voulait revenir à un style nettement plus direct et brutal. Revenir vers quelque chose très « War and Pain » mais avec une maturité dans les compositions et un son plus moderne. Pour cela, ils ont recours aux services d’Eric Forrest (E-Force, Liquid) qui n’est malheureusement pas capable des mêmes performances que son prédécesseur. Malheureusement encore, les riffs se simplifient beaucoup, et même beaucoup trop, ce qui donne après une écoute intégrale comme une impression de gavage. Des riffs thrash-indus-qui-cognent mais dont la succession fait compilation.
Tout n’est pas à jeter, des leads mélodiques très sympas émergent ça et là, comme sur « Nanoman » mais trop rares pour faire respirer l’ensemble.

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Cyber Thrash Voivodien - Québec (2013)

Quel comeback ! Et avec style ! Le groupe revient d'entre les morts, toujours avec Snake au chant, le retour de Blacky et l'arrivée de Mograin (Martyr) à la guitare. Ce guitariste, grand fan de Voivod depuis des années, officie dans une formation très proche stylistiquement du groupe légendaire période Dimension Hatröss. Que devient donc Voivod sans Piggy ? Voivod avec Piggy ! Tant les similitudes du jeu de guitare sont là...
Target Earth est un grand album dans la pure continuité de Dimension Hatröss d'ailleurs, avec un peu de Killing Technology et surtout une bonne louche de Negatron pour la lourdeur et le son moderne. Frais, heavy, inspiré. Un beau classique en devenir.

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Doom/Heavy/Psychédélique - Italie (1984)

L'Italie a eu une scène doom d'importance dès les années 1970 avec un proto-doom directement héritée d'une scène prog horrifique très influencée par le cinéma de genre comme les gialli d'Argento. C'est pas forcément beau, c'est même assez kitch, mais le charme opère sous le poids des ambiances.

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voir critique.

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Le grand classique. Inutile de tergiverser, "Theli" est un chef d'oeuvre autant que la pochette est proprement infâme.

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Et pourtant, c'est du prog sympho goth brésilien de bonne facture et tout plein de bons moments !