L’art du crescendo
Pour moi, le grand paradoxe de ce film est de paraître plus clair quand il est au fond de son mystère qu’au cours de l’exposition. Alors en effet qu’il démarre très doucement, de façon franchement...
Par
le 31 oct. 2024
Pour moi, le grand paradoxe de ce film est de paraître plus clair quand il est au fond de son mystère qu’au cours de l’exposition. Alors en effet qu’il démarre très doucement, de façon franchement...
Par
le 31 oct. 2024
Alors c’est nul, c’est cousu de fil blanc, c’est incohérent, c’est ridicule; j’ose le dire, ce n’est pas le beau, mais… mais il y a ce petit goût de reviens-y qui rend l’expérience un peu jouissive,...
Par
le 17 juil. 2024
2 j'aime
2
Peut-être la face la plus détestable de Baudelaire.
Par
le 18 mai 2024
1 j'aime
Hippias, sophiste sûr de lui, croise la route de Socrate, qui reprend ses armes (exégèse homérique, défense d'une thèse paradoxale jusqu'à la caricature), et lui donne la fessée. Peut-être un des...
Par
le 17 avr. 2024
"Hmm djadja 🎶, hmm djadja 🎶 : j’aime bien Djadja, j’aime bien Doudou, j’aime bien SMS, j’aime bien Hypé, y’a du rythme y’a d’la...vitalité..." :)
Par
le 16 mars 2024
3 j'aime
2
L'apparition - car il s'agit de cela - est aussi improbable qu'elle est sublime. Sous nos yeux ébahis, lunettes noires sur le nez, chemise débraillée, maté à la main, un barbu prend la pose au milieu...
Par
le 3 janv. 2024
2 j'aime