"Le tournis qu'il avait éprouvé ce matin-là ne l'a pas quitté depuis. Un état d'ivresse. Une impression de tanguer à laquelle il a encore du mal à se faire. Bien qu'elle soit, au fond, le lot des poètes. Ce balancement constant entre le réel et le rêve.
Pour garder le pied ferme, il se raccroche aux mots comme à des cordes. Encore bien plus qu'auparavant. Il ne reste qu'eux de tangibles.
Lorsqu'il erre parmi les tranchées, s'adressant à l'un et à l'autre, c'est pour s'écouter parler. Pour vérifier qu'on l'entende. Compris ? Oui, chef. Lorsqu'il tape un gars sur l'épaule, c'est pour... Voir plus
Un décor superbe - l'Aubrac - et une atmosphère indéniable, qui doivent beaucoup au dessin de l'auteur, servent de cadre à l'intrigue basée sur un fait divers banal et sordide (exposé en ouverture)...
Le texte d'accroche en quatrième de couverture…
Le choix des épigraphes…
Le prologue… la première partie et l'épilogue… promettaient tellement mieux : un grand voyage littéraire dans l'intériorité...
Bien loin d'un prêchi-prêcha à la mode, 'Les livres prennent soin de nous, Pour une bibliothérapie créative' de Régine Détambel est le lieu d'un bel éloge de la lecture comme une éducation à la...