Châtaignes et permanentes : la cruauté habituelle du monde pour les outsiders
Énervé, trépidant, trop en colère pour être mélancolique, Adieu les cons dresse l’éloge de la sensibilité dans un monde brut, éperdument froid car sous idiotie constante. C’est un monde où beaucoup apprenne à leur dépend sous peine de mise à