Contient « le plus beau travelling avant de toute l’histoire du cinéma » selon Rohmer et Chabrol,
Ce film, l’un des derniers de la période anglaise avant le départ pour les États-Unis, n’est sans doute pas un grand Hitchcock. Il est, si l’on excepte la première séquence, et la dernière, léger, voire « gentillet ». Mais il est aussi fascinant car