Jamais content !
J'ai quand même un peu de mal à me mettre de tout cœur au hip hop : entre l'agressivité souvent par trop primaire des textes et l'absence d'instruments, je n'y retrouve pas ce que j'aime en général...
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le 25 mars 2016
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J'ai quand même un peu de mal à me mettre de tout cœur au hip hop : entre l'agressivité souvent par trop primaire des textes et l'absence d'instruments, je n'y retrouve pas ce que j'aime en général dans la musique. Sans doute faut-il admettre qu'on est un jour dépassé par l'évolution de la musique, et laisser les nouveaux courants à nos enfants pour qu'ils y nagent et s'éloignent de nous… Arrested Development, par contre, ça a tout du groupe pour moi : on y chante plutôt le bonheur de vivre, la douceur de la campagne, le tout en jouant de VRAIS instruments. Avec en plus, comme en témoigne la belle pochette de "3 years, 5 months and 2 days in the Life", une inspiration puisée aux sources africaines de ce groupe, cette communauté du Sud des USA. Cet album met donc du baume au cœur de celui qui l'écoute, le berce suavement dans des ambiances bucoliques - bon, il y a quand même des moments combattifs, et heureusement ! -, mais souffre au final peut-être d'un léger trop plein de gentillesse, qui frise la fadeur : comme quoi, je ne suis jamais content ! [Critique écrite en 1992]
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le 25 mars 2016
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J'ai quand même un peu de mal à me mettre de tout cœur au hip hop : entre l'agressivité souvent par trop primaire des textes et l'absence d'instruments, je n'y retrouve pas ce que j'aime en général...
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le 25 mars 2016
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