Un semi échec

Sandra revient en solo avec cet album "Close to seven" en 1992 , avec des sons pop électros auxquels, elle ne nous avait pas habitués auparavant. Cependant, nous les avions découvert , en 1990 avec le groupe Enigma, dans lequel la jeune femme avait participé. Avec ce nouvel opus, Sandra a tenté de nous séduire de sa voix toujours sensuelle en nous affirmant qu'elle avait besoin d'amour ("I need love" ) ou encore qu'elle n'avait plus aucun tabou en amour ("No taboo)"). Mais cette fois -ci, sa tentative de séduction a échoué. Son public ne semble avoir apprécié que la chanteuse ait définitivement rangé au placard les sonorités des années 80. Sonorités qui soit dit en passant permettaient de l'identifier.. D'ailleurs, les fans de la première heure, soit ont boudé cet album, soit se sont détournés de l'interprète. Une minorité d'entre eux lui est cependant, resté fidèle.
Même si j'associe beaucoup Sandra aux années 80, je préfère parler de semi échec. Pour moi toutes ces chansons qui composent cet album et dont certaines manquent de rythme peuvent s'écouter de manière distraite, mais, en tous les cas, elles ne heurtent mes oreilles au point de devenir sourd.