On s'accroche. Pneu garde le pied au plancher pour son troisième album. Ca cavale, ça bondit. C'est ludique. C'est saturé. Bref, ça n'a pas changé. Et c'est toujours aussi bon.
Toujours cette impression d'être sur le dos d'un animal imaginaire. Un croisement entre une antilope, un kangourou et la voiture de Starsky & Hutch.
Les chansons trop statiques, comme "Gin Tonique Abordable" ou "The Biggest, The Ankle", je m'en passerais bien.
Pour le reste, c'est génial. De la prod'... au featuring avec le poète d'Enablers... jusqu'à l'artwork. Rhhaaaa ce son de batterie ! Comment peut-on mettre autant le bordel à deux ? Déjà dans le top 10 de l'année.