L'action se déroule dans un pays imaginaire « Brueghelland ». Le grand macabre personnage qui prétend être l'incarnation de la Mort annonce la fin proche du monde...
Le grand macabre arrive dans l'œuvre de Ligeti comme une rupture dans le style. Plus éclectique, il reformule tonalité et modalité dans un style qu'il appelle : "non-atonal". Rien de bien nouveau mais beaucoup de citation d'autres compositeurs ou de pastiche en pillant les styles du passé (Claudio Monteverdi, Gioachino Rossini et Giuseppe Verdi en font les frais).
C'est burlesque, gargantuesque, grotesque, bref l'esprit facétieux du compositeur condensé dans son seul opéra !