Lisa LeBlanc
7.2
Lisa LeBlanc

Album de Lisa LeBlanc (2012)

Fin de Ce soir ou Jamais, Lisa LeBlanc fait son apparition pour clore l'émission. La chanteuse est jeune, chevelure en bataille qui ne laisse voir qu'une petite partie d'un visage rond, un oeil pétillant et un léger sourire. Premières notes de guitare et de banjo avant les premières paroles : surprise et intérêt. Surprise pour sa voix particulière qui ne colle pas à son physique et à son accent à couper au couteau, intérêt pour le rythme et le flot des paroles qui sont autant de chocs frontaux.
C'est après écoute que je me suis dit que le titre "Cerveau ramolli" avait tout en lui pour faire fuir, tout est tellement différent et risqué.
Pourtant pendant l'interprétation c'est bien une pause et un partage que j'ai ressenti.
Piqué au vif j'ai écouté l'album et faut bien reconnaître l'originalité et l'interprétation: Banjo, guitare, batterie saccadée, une voix douce mais cassée parfois puissante font de ce premier album un vrai plaisir d'écoute que j'espère durable.
SPlissken
8
Écrit par

Créée

le 6 avr. 2013

Critique lue 299 fois

15 j'aime

5 commentaires

SPlissken

Écrit par

Critique lue 299 fois

15
5

D'autres avis sur Lisa LeBlanc

Lisa LeBlanc
takeshi29
8

Moi aussi j'ai envie de te câlisser jusqu'au boutte et de te dire de belles affaires

Confessions 1/ Je possède cet album depuis quelques mois maintenant, précisément depuis le passage de Miss LeBlanc chez Frédéric Taddeï :...

le 5 août 2013

17 j'aime

5

Lisa LeBlanc
SPlissken
8

Critique de Lisa LeBlanc par SPlissken

Fin de Ce soir ou Jamais, Lisa LeBlanc fait son apparition pour clore l'émission. La chanteuse est jeune, chevelure en bataille qui ne laisse voir qu'une petite partie d'un visage rond, un oeil...

le 6 avr. 2013

15 j'aime

5

Lisa LeBlanc
Ramblinrose
9

Lisa, prononcé Lissa

Lisa a les cheveux au vent, des bottes aux pieds et la guitare en bandoulière. C'est une véritable acadienne avec l'accent itou née à Rosairville (51 âmes au bas mot) où elle apprend à jouer de la...

le 19 sept. 2013

7 j'aime

1

Du même critique

The Thing
SPlissken
10

Critique de The Thing par SPlissken

La grande majorité des films de Carpenter partent d'un conflit, un conflit qui tend à supprimer l'individu au profit de quelque chose de plus global et surtout de maîtrisé. En somme le cinéaste n'en...

le 23 nov. 2012

62 j'aime

10

Vol au-dessus d'un nid de coucou
SPlissken
10

Critique de Vol au-dessus d'un nid de coucou par SPlissken

McMurphy est un électron libre, il tente de se soustraire à la prison est choisissant l'option hôpital psychiatrique mais les fenêtres ici aussi ont des barreaux. Il va aussi découvrir que les...

le 8 mars 2013

60 j'aime

4

Seven
SPlissken
9

7 deadly sins, 7 ways to die

Fin de l'obscurité, fin d'un film, dehors la pluie venait de cesser. Les rues brillaient, la foule réapparaissait, les parapluies se fermaient. Peu à peu toute la ville reprenait son ronronnement...

le 12 oct. 2010

58 j'aime

12