C'est toujours bien d'écouter/regarder au moins une fois les albums/DVDs de live de grands artistes, comme le Wembley de Queen ou les lives de Pink Floyd. Mais il y a de ces enregistrements de concerts qui s'écoutent en boucle comme pas permis. Jamais je n'ai autant écouté un live, et ce que je m'en veux de ne pas avoir pu les voir.
6 ans après, les mix me restent encore en tête, et me font baver comme un demeuré. On dépasse toute objectivité.
Des pistes médiocres de Human After All se retrouvent d'un coup addictives et énergiques, tandis qu'on assiste à un revival bienvenu de chansons de Homework, le tout souvent en combinaison avec le disco-délice de Discovery. J'en ai encore l'eau à la bouche, et j'y retourne.
Je vous invite à faire de même, ne serait-ce que pour déguster une fois.
Ce live est une sorte de consécration et d'auto-hommage que se rend le groupe, et il y a de beaucoup de matière et de travail pour un tel live, sans la sueur de musiciens, qu'avec l'humanité de deux robots français.
À consommer sans modération, encore, et encore.