Tandis que chez Liam (et John Squire), l'heure est à la glorification des guitares à l'américaine, The Libertines reste plus ancré que jamais dans une Angleterre (imaginée) qui tremblote de sincérité. Entre hymnes redoutables, verres bien remplis, toux grasses avant les prises et ce piano qui nous rappelle que Pete Doherty n'a rien perdu de sa mélancolie bizarre. La voix (voie?) est là.
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le 6 avr. 2024
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