On se souvient des superbes plages musicales très seventies qui jalonnaient le film de Lars Von Trier, au travers de ses différents chapitres...
Pour moi, en seulement quatre titres, cette bande originale met tout le monde d'accord (ou presque) : l'incandescent In a Broken Dream, l'immense Child in Time, l'onirique Suzanne et l'emballant A whiter Shade of Pale (probablement le plus grand slow de tous les temps), côtoient d'autres morceaux de très belles factures, sans véritables coups de mou - seul Hot Love ne me plaît pas.
Une bande originale à tendance psychédélico-mélancolique qui me fait chaque fois chavirer de bonheur.