Cela faisait un moment que j'attendais un morceau de cette trempe de la part de SR. Et j'avoue être heureux comme un roi à chaque fois que je l'écoute.
Brennisteinn sent le souffre, certes, mais il reflète aussi la douleur, évoque le néant.
Les dernières notes semblables à des vagues intemporelles nous refont émerger en douceur mais pas sans séquelles vers le monde extérieur que nous avons délaissé.
Les deux instrumentaux suivants sont tout aussi formidable mais je reste déçu qu'ils ne soient pas présent dans l'album Kveikur.