Je n'aime pas:
- sa musique, pop commerciale sans intérêt, mention spéciale pour le disco massacré à la sauce pseudo frenchy branchouille. (Donna, pauvre Donna ... pâle copie, la magie, le talent, en moins).
- sa voix, certes juste, mais limitée, voire criarde, forcée...
- son look, tenues d'un goût qui ne me revient pas du tout. Ce style pseudo étudié, mode parisienne, inspiré des années 80 (les années du mauvais goût), allié à la coupe de tifs qui va bien, beurk.
- ses clips, décors moches dignes des années 80, encore, images propres et nettes, prêtes à vendre.
- ses paroles, des textes simples, ça, c'est clair ... thématiques et métaphores faibles.
Bref, c'est pas mon truc, je préfère de loin Angèle (Balance ton quoi ... d'une voix douce), la belge, ou Aya Nakamura, textes basiques aussi, mais merci pour Pookie.
Et bien là, wesh, téma la pookie ... le titre est du même acabit qu'"Allumer le feu" ... paye ta référence pourrie.
C'est insipide, comme bon nombres de franchises françaises estampillées: easy listening pour bobos, et aspirants bobo, à grand renfort de marketing ciblé, grossier.
PS: Je viens d'apprendre de la part d'un collègue d'ici, qu'elle est fille de producteur. Nous vivons décidément dans une société de parvenus, des bien nés, que Balzac avait déjà démonté en son temps. La petitesse, le mensonge et l'avidité sont les valeurs cardinales de notre temps.
Et, en prime, elle a le toupet de critiquer Sardou (chanteur détestable ...) de manière totalement légère et bête, alors qu'elle chante elle aussi avec une cuillère en argent dans la bouche.
Juliette Sardou, ou Michel Armanet, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. Une belle bande d'escrocs. Elle se la joue à la Zaz, fausse cool, en plus. Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnaît.
Juliette est à la chanson, ce que les socialistes sont à la gauche ... pshitttttttttt
Brûler le feu, mouiller l'eau, aérer l'air, enterrer la terre ... juste comme ça, au passage.