En préambule, sachez que ma critique sera aussi vide que cet album.
Au top de sa carrière, Drake se hisse incontestablement dans la liste des rappeurs intouchables du moment. Après des tubes planétaires tels que « Hotline Bling » ; « Hold on, we’re going home » ; « Started from the bottom » c’était un euphémisme de dire à quel point ce nouvel album était attendu….
…ET PATATRA !
Suis-je la seule à m’être profondément ennuyée pendant toute la première partie de l’album ? Tous les morceaux se ressemblent, son flow de « fainéant » m’insupporte tellement que j’ai franchement hésité à écouter jusqu’au bout. Il semble faire du sur place à ressasser inlassablement les mêmes thèmes. Mais où est bon sang toute cette rage de vaincre qu’il nous transmettait à tous sur el famoso « Worst Behaviour » ?
Restons calme. La fin de l’album se décante tout en bas de la Track List (Dieu merci !) à partir du morceau « Race my mind » ou je peine à discerner son futur single « Fountains (with Tems) » avec comme une impression de déjà-vu…Fort heureusement Tems se révèle complétement dans ce morceau et nous laisse un peu de fraicheur à l’oreille !
Vous savez-quoi ? Je suis convaincue que cette fois ci même la masse n’en voudra pas : Certified Lover Boy sera très certainement retenu comme l’un des albums de Drake les plus éclatés au sol.