À peine "The Wonders of His Love" entamée , voila que sort neuf mois après ce troisième disque de Philip Bailey .De là , Il en sortira un tube qui est devenu interplanétaire avec la présence de Phil Collins ("Easy Lover"- dont le célèbre batteur auteur compositeur interprète et membre du groupe Genesis a produit aussi cet album- ) et un autre , son titre éponyme ("Walking On ..") . Mais le reste ...Que vaut-il ? Ben , tout les traits de la musique stéréotypée des années 80 sont utilisés à ce troisième album . On utilise une batterie électronique bruyante , le vocoder , des synthétiseurs et évidemment un refrain accrocheur au premier morceau ("Photogenic Memory") .. Le second morceau est différent ( I Go Crazy) , il est un peu plus accrocheur mais cependant quelques parties nécessitent des améliorations . Le troisième morceau ("Walking On The Chinesse Wall") est nettement plus travaillé que les deux morceaux mais ce n'est pas le morceau le plus terrible de l'album (mais je pense que vous avez deviné lequel est-ce) . On arrive au quatrième morceau et aussi le plus ...oubliable (" For Every Heart That's Been Broken" -et je t'le fais pas dire qu'il y a comme quelque chose de brisé la dedans) .. Le cinquième morceau , c'est du pur Earth Wind & Fire ("Go"-et je connaissais ce morceau) .. Et arrive donc le tube planétaire (voila, c'est le morceau le plus intense à cet album) : "Easy Lover" . Rien à redire à l'une des plus grande chanson pop jamais écrite . Le septième morceau ("Show You the Way Love") ... Euh pardon , je me suis assoupi ... Le huitième morceau ( "Time is a Woman") , y a une belle énergie qui se dégage , les refrains sont facile à retenir , bon ben c'est gagner .On arrive à la piste neuf ("Woman") , pas un mauvais titre aussi ... Et on conclu au dixième (" Children on Ghetto") , qui d'une manière très élégante clôture ce disque .
Philip Bailey se montre prometteur sur certains morceaux mais retourne assez vite à la fameuse formule standard "pop soul" qui réduisent un peu l'album .