Un bar à tapas, 22:00, on allume la radio dans les années 2000 et : Ça alors !
Manu Chao, on l'a aimé avec la Mano Negra, de très bons albums énergiques, le mélange anglo/franco/espagnol, ça passe tout seul. Ici, on retrouve un album qui a été un grand succès, qui est beaucoup passé à la radio, et bizarrement, on en redemande.
Bien sûr, certaines chansons comme "clandestino" reste un peu trop "cliché", qu'on ne supporte plus passé la 40ème écoute. Mais les morceaux de cet album sont un peu (excusez ma comparaison niaise) comme un grand verre d'eau froide après une journée éprouvante. L'album tout entier a un côté réconfortant. Ici encore on a le combo des trois langues les plus utilisés au monde, qui nous renvoi à la chaleur humaine et à un arrière goût de musique du monde.
Ça reste dans la tête, c'est séduisant, c'est joyeux et mélancolique à la fois... C'est sentimental quoi !