Parfois, il suffit de laisser reposer un album quelques semaines après une ou deux premières écoutes décevantes pour que celui-ci remonte dans votre estime à la troisième.
C’est le cas avec le dernier Beck. Une fois accepté le virage opéré par Beck, on reviendra sur ce Colors, étant prévenu que l’on va bouffer du gros son FM pendant 44 minutes, avec une production aussi grasse et sucrée que celle du dernier Phoenix,
Avec un peu de distance et occupé diverses taches ménagères, on pourra apprécier ce Colors juste pour ce qu’il est : un disque d’ambiance, facile à écouter et sans lendemain. https://poprevuexpress.blogspot.fr/