Parfum des eighties.... Démarrage avec un pattern de batteuse bien groovy étonnant dans ce style et un riff de gratte simple et efficace. Paicey powah ! Ce premier morceau est excellent, il déroule sans urgence très cool jusqu'au classique solo et redescend...zen. Hot stuff very good nous permet d'attendre LE tube. Un riff de claviers ultra béton bien groovy lui aussi lance "Don't break my heart again". Amazing la voix de Coverdale, amazing le riff de Jon Lord, amazing la pulse Basse Batterie qui pousse, amazing les choeurs et bioutifoule solo ! Ce qui est épatant pour certains tubes ce sont leur simplicité. Pas besoin d'un déluge de notes, d'artifices en tout genre : straight to the point, straight to the groove. Trois bons morceaux plus tard dont un excellent boogie rock et un "Lonely days, lonely nights" où les accents de guitare me font penser au Culte de l'huître bleue arrive le second tube de l'album. "Would i lie to you" est moins tubesque que "Don't break" mais là encore très efficace. Le Whitesnake termine cet album réussi avec trois bons morceaux et on se dit que le parfum des eighties mais aussi le parfum profond du Deep Purple des seventies n'est pas près de se dissiper.