Convertibles ne va pas déclencher un fort engouement pour une carrière exclusivement solo de Chuck Inglish, parce que c’est un album beaucoup trop décomposé. Bien que chacun des titres qui le composent soit artistiquement et techniquement très réussi en termes de production, il est bien difficile de trouver une carrosserie qui engloberait le tout. C’est peut-être pour ça qu’il l’a appelé Convertibles. Le plus simple, c’est de se le procurer, de le caler dans la voiture et de le laisser tourner tout le printemps, et peut-être tout l’été, qui a dit qu’il fallait la qualité de paroles d’Illmatic dans tous les albums de rap de toute façon ?