Lâcheté et mensonges
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Faire du bruit et y cacher des idées de chansons, c'est une chose commune en 1992. Chanter en se retenant de ne pas hurler de terreur, pétrifier son auditeur dans cet état quasi-second, entre admiration et répulsion c'est déjà tellement plus... particulier. Pour reprendre une expression ici fort opportune : écouter "Copper Blue", c'est comme "assister à la naissance d'un grand disque de rock derrière une vitre". [Critique écrite en 1992]
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mes 10 albums préférés de 1992
Créée
le 21 juil. 2014
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