Close your eyes
C'est assez rare pour être souligné avec BMTH, je trouve la pochette de cet album-là plutôt jolie.
Cet album est dans la continuité de l'EP qui l'a précédé. C'est-à-dire quelque chose de très bourrin avec des musiciens qui font ce qu'ils peuvent pour tenir le rythme pendant qu'Oli Sykes s'égosille et une production hasardeuse. Après, ça ressemble un peu plus à des morceaux que sur l'EP en question. Par exemple, le très subtil Tell Slater Not To Wash His Dick a une fin instrumentale pas dégueu.
C'est toujours trop violent pour moi dans le sens où ça fait vraiment assemblage de riffs aléatoires avec un cochon qui se fait égorger par dessus. Les prémices de ce que deviendra le groupe sont là : quelques gang vocals, quelques lignes mélodiques uniquement à la guitare, une ou deux lignes de chant où Oliver Sykes crie tout simplement au lieu de faire du growl, du grunt ou que sais-je encore... Mais c'est toujours pas bon. Et ce même s'ils nous montrent que derrière cette brutalité ils ont un grand cœur avec l'instrumentale Fifteen Fathoms, Counting.
Créée
le 20 oct. 2020
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