Les mêmes ... En pire ! Léon Ndugu Chancler n'étant plus de l'aventure , le sextant accueil Patrick Gleason , qui ajoute un Synthétiseur Moog . Gleason , voulait superposer du Moog sur ce que le sextant avait enregistré . Hancock en était ravi , mais pas les autres membres du Mwandishi . À l'origine , c'est sur du Jazz expérimental qu'ils enregistrèrent , avec des influences africaines . Pour eux , les ajouts de Gleason étaient hautement Space , et d'une autre époque . Comme le précédent album , il comporte trois titres , MAIS , sur la Face complète (24:28) , ce morceau est censé être composé en cinq parties. "Sleeping Giants" (Son titre donc) , débute par des percussions se mêlant avec des sons spéciaux d'une durée de deux minutes et vingt-huit secondes . Puis , s'ensuit un Jazz Rock et s'interrompt de façon brut . Il reprend en un Jazz orchestral (Plutôt morose.) . Surgit une Basse électrique , qui guide le groupe dans un jam funky qui la encore s'interrompt très brièvement par du jazz , plus orchestral . Un son de fusion plus traditionnel , ce dirige sur la quasi fin du morceau , et enfin , se termine plus en jazz orchestral . On tourne la face B du vinyle au titre le plus improvisé de l'album , "Quasar" . Un Jazz -spatial s'installe pour faire place à du jazz acoustique ( Avec les sons Moog) . La moitié du morceau est jazz orchestral , et on réentend les percussions de "Sleeping Giants" . Le dernier titre , "Water Torture" . On se croirait dans une bande-son de Lalo Shiffrin au titre "Scorpio View" , issu du film de Don Siegel , "Dirty Harry" . Voila , la fin de cette trilogie sera sur l'incroyable "Sextant" .