Le charme de la synthpop

C'est rare qu'un album comporte aussi peu de tracks que je zappe. Tout est trop cool là dedans. C'est varié, toujours entraînant.

Ça commence par une chanson un poil kitsch (The Things that dreams are made of, avec des brass synthétiques un peu "pouet pouet" mais charmants), ça continue avec le dément "Sound of the crowd" (ma préférée, qui donne envie de descendre dans la rue en dansant comme ça : https://www.youtube.com/watch?v=T69CCsfaZlA ), avec ses séquences aux choeurs mimant une sorte d'orgasme et ses belles nappes de synthé planant au dessus du rythme soutenu.

Suivent des chansons comme Do or Die, avec sa boite à rythme bongos, sa petite crécelle à droite, son explosion à gauche (tout au long de la tune), et ses petits roucoulements tropicaux, qui donnent envie de boire une pina colada dans la fausse noix de coco d'un club de Vice City, Seconds, Love action. Des trucs un peu moins bons aussi, comme Get Carter (longue complainte de sifflets aigües) ou I am the law.

Mais on les oublie vite quand le dernier morceau rameute tout le monde sur le dancefloor du Malibu. DON'T YOU WANT ME BABY ! DON'T YOU WANT ME OOOOOH !