Dennis Hopper !
Le monde va mal, entre le trou de la couche d'ozone qui s'étend à nouveau et les gamins qui jouent avec les armes de leurs grands frères, Bush en Irak et l'Argent partout. Et Damon Albarn n'aime pas...
Par
le 4 août 2014
12 j'aime
Le monde va mal, entre le trou de la couche d'ozone qui s'étend à nouveau et les gamins qui jouent avec les armes de leurs grands frères, Bush en Irak et l'Argent partout. Et Damon Albarn n'aime pas la tronche du monde, et même qu'il le chante - plutôt bien - (plus très) caché derrière sa muraille de bidouillis électroniques. Alors "Demon Days" est noir, presque atroce, mais paradoxalement nous requinque, par son militantisme aux antipodes des bêlements des rockers sexagénaires de "Live Aid", par son intense créativité qui fait se rejoindre la mémoire de Ray Davies avec les derniers rappeurs à la mode. Et puis, un disque où on entends Dennis Hopper pendant 3 minutes ne peut être qu'exceptionnel... [Critique écrite en 2005]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 250 albums indispensables de l'histoire du Rock [en construction], Mes 10 albums préférés de 2005, Les meilleurs albums anglais des années 2000, Les meilleurs albums de musique électronique et Les meilleurs albums de 2005
Créée
le 4 août 2014
Critique lue 1.6K fois
12 j'aime
D'autres avis sur Demon Days
Le monde va mal, entre le trou de la couche d'ozone qui s'étend à nouveau et les gamins qui jouent avec les armes de leurs grands frères, Bush en Irak et l'Argent partout. Et Damon Albarn n'aime pas...
Par
le 4 août 2014
12 j'aime
Il est étrange de penser qu'un album d'un groupe fictif pourrait avoir un impact aussi important, mais "Demon Days" du groupe animé Gorillaz , (idée originale du chanteur de Blur Damon Albarn et de...
Par
le 24 mai 2021
5 j'aime
Je n'irais pas à crier jusqu'au génie mais il faut avouer qu'en terme de diversité et d'inventivité musicale, Damon Albarn sait y faire et nous le prouve en maniant une pléthore de styles musicaux...
Par
le 27 déc. 2013
5 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
192 j'aime
118
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
191 j'aime
25